Vie sentimentale complexe

je vis à peu près la même situation avec ma copine , mais moi , je l'aime beaucoup et je ne la quitterai jamais , c'est mon opinion , je connais pas exactement ta situation , par exemple et je ne veux surtout pas te tordre le bras , mais moi je pris seul et je vais à l'Église seul, et au début j'ai trouvé ca difficile de vivre cette situation , mais je ne le regrette pas du tout de vivre avec elle .
Au contraire je suis très heureux d'avoir choisi de rester avec elle Voici un extrait de la Bible , je sais que vous n'êtes pas marier , mais moi non plus et je penses que des projets de mariages valent autant qu'un mariage , si ce n'est qu'une question d'argent ou d'impossibilité quelconque

1Co 7:13- Une femme a-t-elle un mari non croyant qui consente à cohabiter avec elle, qu'elle ne répudie pas son mari.
1Co 7:14- En effet le mari non croyant se trouve sanctifié par sa femme, et la femme non croyante se trouve sanctifiée par le mari croyant. Car autrement, vos enfants seraient impurs, alors qu'ils sont saints !
1Co 7:15- Mais si la partie non croyante veut se séparer, qu'elle se sépare ; en pareil cas, le frère ou la sœur ne sont pas liés : Dieu vous a appelés à vivre en paix.
1Co 7:16- Et que sais-tu, femme, si tu sauveras ton mari ? Et que sais-tu, mari, si tu sauveras ta femme ?


Voilà j'espère ne pas décevoir , et je le répète , c'est mon opinion , c'est tout , c'est à toi de faire le choix

Bonjour tinours et bienvenue sur Ephata ,

Vivre une relation avec une personne non croyante n'est pas facile. Il peut arriver que la vie de foi devienne un combat perpétuel (pour ne pas dire un enfer). Il faut bien y penser avant de s'engager avec une personne non-croyante car il y a des gros risques de compromissions et souvent c'est la partie croyante qui en fait les frais. Quoiqu'il arrive parfois que l'un des deux se convertisse subitement (ce qui est mon cas) et que l'autre ne suive pas, ce qui rend les choses difficiles au quotidien. Par ailleurs, on peut toujours vivre dans l'espérance pour l'autre et demander la grâce que le/la conjoint(e) accepte de vivre dans la foi (mais sans la réelle adhésion à la foi) pour l'éducation des enfants. C'est là que le Seigneur peut faire son oeuvre. Tant que l'autre n'est pas hostile à la foi et laisse cet espace de liberté... mais si la personne est hostile, ça me semble un peu un chemin sans issu. C'est le Seigneur qui converti... nous ne pouvons qu'être des témoins de la foi. Le reste Lui appartient.

Je vous invite à prier saint Joseph pour ce genre de discernement (voir le message adressé à Morgane).

Fraternellement,
Hélène
p.s. : j'aime bien le rose mais ça me semble un peu difficile de lire sur un écran... il serait préférable de prendre une couleur moins vive, si possible...qu'en dites-vous ?

Pour ce qui est de donner des conseils, je ne me le permettrais certainement pas. J'ai la chance d'avoir eu et d'avoir toujours une vie sentimentale rectiligne et pleinement heureuse. Je ne peux que prier pour vous.

Par contre, je serais moins négatif pour les discordances foi intense/foi tiède. Je pense qu'avec patience et persévérance, on trouve des opportunités diverses pour proposer à l'autre d'entrer dans une démarche de foi. Mais il faut varier les propositions : ma femme qui avait cessé toute pratique (et cela a eu une incidence sur moi) y est revenue par la musique : animation de messe, direction de chorale. Du coup on s'est retrouvé à préparer les prières universelles ensemble, puis à prier ensemble (c'est un long ré-apprentissage). Maintenant elle a un engagement fort et nous faisons beaucoup de choses ensemble. Je crois qu'il y a eu aussi un facteur très important qui nous a obligé à quitter toute tiédeur : les enfants ! Mine de rien, ils nous poussent vraiment à savoir où nous en sommes.

Il faut donc proposer diverses formes de reprise de contact avec la foi (groupes de prière, chorales, proposer de s'engager en catéchèse en tant que couple...), et d'ici là garder l'espérance et tenir dans la prière. Il faut aussi savoir se réjouir des petites choses : pour quelqu'un qui n'a jamais eu l'habitude de prier à voix haute en famille (comme ça a été mon cas dans mon enfance), prendre l'habitude de dire un "notre Père" ensemble c'est déjà un bon début !

Fraternellement,

Fabrice

Dites vous bien que vos différences ne sont pas des handicaps, mais des richesses pour bâtir des projets communs. Faites l'inventaire de toutes lles qualités et de toutes les valeurs que vous possédez comme autant de choses à faire grandir et qui fera du neuf dans votre vie.
Que le Seigneur bénisse tous vos partages.

Promis que je prie pour vous deux afin que la volonté de Dieu soit faite. Que le Seigneur vous apporte sa Paix du matin de Pâques.

Fraternellement,
Hélène

Il y a une prière de la messe du dimanche qui dit:Seigneur donne nous de voir ce qui est juste et bon, et la force de l'accomplir en sa présence.
C'est ma prière pour vous deux