Une des deux portes coulissantes de mon passage, dans la galerie, de nouveau rendue inopérante par un très violent coup de bottine. La police venue sur les lieux. Impossible de donner un signalement plus précis que : "Une douzaine de jeunes hommes avec trois ou quatre jeunes filles. Cagoulés et/ou crânes rasés, pour les garçons, tatouages sur les reins des jeunes filles. Musique "rap", forte odeur de cannabis. Après leur départ, ont voulu revenir sur leurs pas et réoccuper le passage qu'ils venaient d'obstruer en usant de violence.
Réparation dans les prochains jours et renforcement du guide au sol de la porte. Le gérant promet d'installer des caméras de surveillance sous bulles comme dans les gares.
A partir du mois de novembre, les chômeurs ne reçoivent plus d'allocations, ou une allocation dégressive... le spectacle ne fait que commencer.
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Et pendant ce temps, le même temps, suis resté émerveillé par l'affection sincère entre Simone, 97 ans, qui vient de se blesser en tombant, et ma mère Léa, 87 ans qui la soutient en lui parlant avec gentillesse et un grand sourire.
Seigneur, que dîtes-vous de cette journée ?
"Ce n'est plus moi qui vis, mais le Christ qui vit en moi" (Ga 2:20)
(Non sum dignus ...)