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 Qui est l'inventeur de la "théorie du genre" ?

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5 participants
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boisvert
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boisvert



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MessageSujet: Qui est l'inventeur de la "théorie du genre" ?   Qui est l'inventeur de la "théorie du genre" ? Icon_minitimeVen 14 Juin 2013 - 12:45

Réponse :

John Money est l'inventeur de l'idéologie du Genre : avant lui, elle n'existait pas. Il en crée les concepts 
centraux et la pratique médicale.




John Money a tenté de transformer un petit garçon, David Reimer, en petite fille (par la chirurgie et 
par la psychiatrie) et l'a forcé à mimer l'inceste avec son frère jumeau. 
Parvenu à l'âge adulte, David Reimer s'est suicidé, tout comme son frère jumeau. 



John Money participait activement à Paidika - The Journal Of Pedophilia, revue militante 
pro-pédophilie basée à Amsterdam. 


Il était favorable à la légalisation de la pédophilie.


John Money a menti de manière éhontée sur les résultats de ses expérimentations, ce qui lui a permis de 
devenir célèbre et respecté.




Le fait que l'idéologie du Genre ait été inventée par un dangereux pédophile est totalement inconnu des 
familles et parents d'élèves en France.


 Il semble évident que si ces faits étaient connus du plus grand nombre, on 
pourrait voir une levée de boucliers considérable contre l'idéologie du Genre.


http://fr.wikipedia.org/wiki/John_Money


http://fr.wikipedia.org/wiki/David_Reimer


http://racinesdufutur.blogspot.fr/
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DamienH
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DamienH



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MessageSujet: Re: Qui est l'inventeur de la "théorie du genre" ?   Qui est l'inventeur de la "théorie du genre" ? Icon_minitimeSam 15 Juin 2013 - 3:48

Merci pour cette précieuse, utile et inquiétante information!
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boisvert
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boisvert



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MessageSujet: Re: Qui est l'inventeur de la "théorie du genre" ?   Qui est l'inventeur de la "théorie du genre" ? Icon_minitimeSam 15 Juin 2013 - 3:58

La vérité commence à être connue et ce fil va se continuer. Chacun d'entre nous peut combattre cette infamie sans nom....


Vos enfants sont ce que vous avez de plus cher. Vous pensiez,  encore tout récemment, que vous étiez libres de les éduquer comme vous le souhaitiez. Vous croyiez que leur sexe était leur propriété, pas celle de l’Etat ou des lobbies LGBT *.


C’était sans compter la détermination de l’actuel gouvernement, notamment celle de M. Vincent Peillon, Ministre de l’Education Nationale, qui a résolu « d’arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel » sous prétexte de lui donner la liberté de choix.  C’est au nom de cette liberté que, progressivement, insidieusement, les représentants de la nation ont introduit l’indifférenciation des sexes, conséquence de la théorie du genre, dans les crèches et les programmes scolaires, de l’école primaire à l’université. 


Pour éviter que les filles et les garçons ne constatent qu’ils sont différents, au nom de l’égalité, l’école se doit de les conditionner pour qu’ils se croient indifférenciés: il s’agit en effet de leur permettre de choisir le genre auquel ils appartiennent, la biologie se contentant de leur donner un sexe.


Sous couvert de lutter contre l’homophobie et les inégalités entre hommes et femmes, les tenants de la théorie du genre projettent d’instrumentaliser l’école en « déconstruisant les stéréotypes » ; cette  expression sert à masquer un saccage en règle de l’identité sexuelle des individus. On la retrouve dans de nombreuses publications officielles et rapports préalables au vote de la loi de refondation de l’école, comme dans le rapport du SNUipp-FSU (important syndicat d’enseignants) que vous pouvez télécharger en cliquant sur le lien. http://www.snuipp.fr/IMG/pdf/document_telechargeable-2013-30-05.pdf


Ce même rapport indique aux enseignants comment réagir aux questions ou rebellions des parents : « Est-il utile d’informer les parents ? S’il s’agit d’une séquence isolée et ponctuelle en réaction à un événement (insulte dans la cour) ou d’un travail sur un livre particulier en lien avec d’autres, sans doute pas. S’il s’agit par contre d’un ensemble de séquences permettant d’approfondir la question, il sera probablement utile d’évoquer le thème choisi lors d’une réunion avec les parents et de préciser les raisons qui ont amené l’enseignant ou l’équipe à ce travail. Entendons-nous bien, non pour demander une autorisation, mais pour informer en amont afin d’éviter des réactions de surprise ou d’incompréhension. Nos conseils en cas de problème : s’assurer du soutien de l’équipe, prendre contact avec son IEN… et avec le SNUipp-FSU » (p.46).


Les enseignants ainsi « armés » contre les familles pourront, par exemple, étudier en toute tranquillité les albums « Papa porte une robe » ou « Rémi est amoureux d’Hubert » avec pour objectifs pédagogiques de faire employer les mots « homosexuels » ou « gays » à des élèves de CP (fiches pédagogiques et leurs annexes à partir de la page 52. Edifiant !)


Nous sommes nous-mêmes parents, enseignants ou tout simplement citoyens soucieux du type d’éducation que notre beau pays donne à ses enfants. C’est pourquoi nous avons voulu en savoir plus sur le contenu de ces « gender studies » et sur leurs fondements théoriques et historiques. Nous avons été estomaqués par ce que nous avons découvert sur les inspirateurs de ces théories, en particulier concernant le Docteur John Money, pédophile notoire, ayant réalisé les premières expériences de réassignation du genre sur des jumeaux.  http://theoriedugenre.wordpress.com/2013/06/08/qui-est-john-money/


Notre étonnement s’est encore accru quand nous avons pris la mesure de l’influence que ces théories ont déjà dans tous les domaines de la pensée et à l’université dans les champs disciplinaires les plus divers, de la sociologie à l’économie en passant par l’histoire ou les sciences politiques. Les Etats-Unis et les pays scandinaves sont précurseurs en la matière mais nous leur emboîtons le pas avec un enthousiasme aveugle et criminel. L’Institut Emilie du Châtelet, l’Université Paris VIII ou encore Sciences Po Paris financent déjà des « gender studies » et prônent leur introduction dans toutes les disciplines enseignées, par une approche transversale. Quant à la ville de Paris, elle décerne un « Prix de thèse sur les Etudes de Genre » depuis 2006…


Toutes ces informations et les articles que vous pourrez lire sur notre blog vous laisseront sans doute pantois. Pourtant, il ne faut pas céder à l’accablement. Il faut agir. Nous avons la conviction qu’il n’est pas trop tard pour informer, s’opposer, lutter afin que la jeunesse de demain ne puisse pas nous reprocher de n’avoir rien fait pour la protéger de ces hérésies destinées à la manipuler au nom d’une idéologie mortifère.
Nous n’appartenons à aucun mouvement politique, aucun courant idéologique, nous n’agissons au nom d’aucune religion. Nous souhaitons juste que le mot liberté ne soit pas totalement vidé de son sens sous la pression de lobbies dont l’objectif est de détruire l’être humain dans son identité la plus intime et la plus profonde.
Nous vous invitons à témoigner des dérives que vous aurez constatées en envoyant un message à nonaugenre@gmail.com. Nous vous encourageons aussi à questionner les directeurs – directrices des écoles de vos enfants et à organiser des réunions afin d’informer ceux qui croiraient encore que le sujet n’est pas d’actualité : imprimez, transférez, partagez nos articles.


Il est de notre devoir d’agir.
   * LGBT : Lesbiennes Gay Bi et Transexuels.
http://theoriedugenre.wordpress.com/aux-parents-deleves/


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boisvert
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MessageSujet: Re: Qui est l'inventeur de la "théorie du genre" ?   Qui est l'inventeur de la "théorie du genre" ? Icon_minitimeSam 15 Juin 2013 - 4:38

Je poste ici la première page d'une longue série sur Google, que je viens d'ouvrir ce matin : tout apparaît d'un seul coup ce samedi 15 juin (et je me demande : pourquoi juste maintenant ?  parce que les familles partent en vacances, peut-être ?)

- theoriedugenre | La vérité sur la théorie du genre
theoriedugenre.wordpress.com/‎

- Jun 4, 2013 – La vérité sur la théorie du genre. ... http://fr.wikipedia.org/wiki/John_Money. Ainsi que ... Theme: Twenty Ten Blog at WordPress.com. Follow ...

- Aux parents d'élèves | Théorie du Genre
theoriedugenre.wordpress.com/aux-parents-deleves/‎

- La vérité sur la théorie du genre. ... de réassignation du genre sur des jumeaux.http://theoriedugenre.wordpress.com/2013/06/08/qui-est-john-money/.

- Qui est John Money ? | Théorie du Genre
theoriedugenre.wordpress.com/.../qui-est-john-money/‎
6 days ago – Cette entrée, publiée dans John Money, est taguée études, David Reimer, gender studies, genre, John Money, théorie du genre, wikipedia.

- Manif pour Tous contre la théorie du Genre | La Table Ronde
latableronde.wordpress.com/.../manif-pour-tous-contr...‎
Jun 3, 2013 – La vérité est si obscurcie en ces temps et le mensonge si établi, qu'à moins d'aimer la vérité, on ne saurait la reconnaître. » (Pascal)

- Le Petit Nicolas et la théorie du genre | Olivier Demeulenaere ...
olivierdemeulenaere.wordpress.com/.../le-petit-nicolas...‎
Translate this page
Jun 5, 2013 – Et que c'était la théorie du genre, et qu'il fallait que chacun choisisse, .... http://www.alliancevita.org/2013/06/les-creches-a-lheure-du-gender/.

- La "théorie du Genre" et la Gauche | Valeurs de Gauche
valeursdegauche.wordpress.com/.../la-theorie-du-genr...‎
Translate this page
Feb 19, 2013 – WordPress: ... Parler de théorie du genre est, de plus, une grossière erreur de traduction résultante ... je vous renvoie vers cet article pour plus d'information. http://cafaitgenre.org/2013/01/02/la-theorie-du-genre-nexiste-pas/.

- Souveraineté du Peuple
souverainete-du-peuple.blogspot.com/‎
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22 hours ago – Rappel : Théorie du genre émane de John Money, pro-pédophile. Source : http://theoriedugenre.wordpress.com/aux-parents-deleves/

- Le vrai but du mariage homosexuel : imposer la théorie du Genre ...
heritageancestrale.wordpress.com/.../le-vrai-but-du-ma...‎
Translate this page
May 3, 2013 – La théorie du genre, une idéologie qui nie la différence des sexes et la complémentarité naturelle entre l'homme et la femme. Le Ministère de ...

- L'enseignement de la théorie du genre bientôt obligatoire dès 6 ans. |
lafemmecatholique.wordpress.com/.../lenseignement-d...‎
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Apr 16, 2013 – Pétition contre la théorie du genre dans l'école élémentaire .... http://lepanierasalades.wordpress.com/2013/04/12/cours-de-rattrapage-pour-les ...

- La Norvège abandonne la "théorie du genre" grâce à un reportage ...
francaisdefrance.wordpress.com/.../la-norvege-abando...‎
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- Jun 6, 2013 – La théorie du genre veut qu'il n'y ait pas de différences sexuelles innées entre les ... http://www.pedopolis.com/blog/la-norvege-abandonne-la-theorie-du-genre-grace-a-un-reportage.html .... Propulsé par WordPress.com.
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MessageSujet: Re: Qui est l'inventeur de la "théorie du genre" ?   Qui est l'inventeur de la "théorie du genre" ? Icon_minitimeDim 16 Juin 2013 - 17:34

Voilà un des meilleurs texte que j'ai trouvé sur le sujet et je vous en fait part

L'homosexualité : innée, apprise ou choisie ?
 
 
Il existe une grande frustration à propos de la cause exacte de l'homosexualité : tout au long de l'histoire de l'humanité, les homosexuels ont été considérés comme des anormaux, et donc persécutés, excommuniés, ou même tués pour leur comportement. Le terme "faggot" (en anglais dans le texte) qui les désigne quelques fois, vient de l'ancienne pratique de les jeter sur un bûcher. Ils ont raison d'être nerveux puisque historiquement, ils ont toujours entretenu une hostilité contre la société normale ; dans leur campagne sans fin pour l'auto-respect, ils ont identifié correctement la famille naturelle comme leur ennemi.
L'homosexualité : Innée ?
L'espoir latent dans la stratégie moderne des homosexuels pour leur acceptation par la société est de trouver quelques causes "naturelles" à leur comportement. C'est ce qui sous-tend la pression faite pour obtenir différents droits énumérés dans les lois et les chartes, droits qui s'appliquent normalement uniquement à la race, la couleur, ou le genre, -- à ceux qui sont "nés comme çà.". Après tout, si vous êtes nés avec une condition qui fait que vous vous comportiez d'une certaine façon, alors, on ne pourra dire de vous que vous avez choisi ce comportement. Il est, "naturel" et donc, on ne peut vous accuser de conduite immorale. Aux États-Unis, certains éducateurs sexuels dans quelques états sont déjà dans les écoles avec ce message. Par le programme appelé "the link" ("le lien") on installe dans les classes des téléphones qui lient les étudiants à de l'information "neutre" sur le sexe et les drogues. Le message dit que l'homosexualité "n'est pas un choix. Il est inné. Comme être gaucher ! C'est déterminé avant la naissance." La cassette audio réfère ensuite les étudiants curieux à la ligne téléphonique de "National Gay and Lesbian Crisis".
Toutefois, le problème lié à cette façon de voir est qu'on n'a jamais trouvé une seule différence soit-elle génétique, hormonale ou chimique entre les homosexuels et les hétérosexuels. De plus, en admettant même qu'il y ait une cause naturelle, on devrait la retrouver également répartie à travers la population du monde. De fait, en 1984, l'Institute for the Scientific Investigation of Sexuality a découvert que les enfants éduqués dans des foyers sans religion avait 450% plus de chances de choisir un style de vie homosexuel. Et qu'il n'y a apparemment que peu ou pas d'homosexualité en Chine, dans l'ancien U.R.S.S., dans les Kibboutz d’Israël ou dans différentes sectes religieuses comme les Amish. En d'autres mots, la culture, le système de croyance ou la bonne vielle morale peut protéger une société contre la croissance de l'homosexualité. Dans cette veine, Joseph Berger, professeur de psychiatrie à l'université de Toronto écrit : " Je n'ai jamais rencontré personne possédant une 'homosexualité innée'. Cette notion a été la position politique des activistes guais proclamés depuis longtemps, dans le but de promouvoir l'acceptation de l'homosexualité comme une expression alternative de la sexualité humaine saine et de valeur égale. Ce point de vue à une base scientifique qui vaut zéro même si ses promoteurs s'accrochent à la plus petite miette d'atroce recherche dans leurs tentatives de justifier cette notion."(Letter, Globe and Mail, February 26, 1992.)
Sans égard au nombre d'études générées sur ce sujet le débat n'a pas de raison d'être pour les raisons suivantes : d'abord, s’il était vrai que l'homosexualité soit innée, alors, un calcul basé sur la reproduction génétique ou sur la sélection naturelle suggère que leur nombre diminuerait rapidement ou n'augmenterait simplement pas puisqu’ils ne se reproduisent pas. Il leur est également dangereux d'affirmer qu'ils sont nés homosexuels puisque ce qu'ils font a toujours été universellement méprisé. S’il est démontré que l'homosexualité à une cause physique, alors il est probable que la société va s'organiser pour l’éradiquer. Le gène gênant, ou ce que c'est, sera excisé à la naissance. Ils sont donc mieux de ne pas argumenter dans cette direction s’ils veulent préserver leurs habitudes. Les recherches pour des preuves scientifiques que l'homosexualité est innée est un cul de sac politiquement. Par exemple, un chercheur allemand controversé, le docteur Gunter Dörner a déclaré que l'homosexualité chez les humains était directement fonction d'un timing précis d'une dose plus ou moins grande d'hormones mâles avant la naissance. Il expliquait également qu'avec des injections d'hormones avant la naissance, on pouvait prévenir l'homosexualité. Ses arguments ont, comme prévu, déclenché une colère féroce des homosexuels qui l'ont accusé de confondre leurs conditions avec une maladie. Il préférerait dire qu’elle est naturelle.
L’argument "l’homosexualité est naturelle" ne fonctionne pas non plus, simplement parce que de nombreuses choses qui sont mauvaises pour nous ou mauvaises pour la société sont naturelles. Plusieurs cancers sont naturels. Les maladies de cœur sont naturelles, la tuberculose est naturelle ainsi que les maladies transmises sexuellement. La société n’a pas à encourager ou à protéger des choses pour la simple raison qu’elles sont " naturelles ".Au contraire, elle doit démêler ce qui est naturellement bien de ce qui est naturellement mauvais et ainsi organiser son auto protection, que ce soit contre des menaces physiques, sociales ou morales.
Nous ne pouvons pas affirmer non plus comme l’a fait la " sexologue " de Toronto, Sue Johansen, que l’homosexualité est naturelle chez les bêtes. D’après W. Gadpaille, qui écrivit dans Archives of General Psychiatry(1980) : " la préférence homosexuelle ne se retrouve chez aucune espèce de mammifère ". En fait, le meilleur argument contre l’homosexualité, mis à part ceux des grandes religions du monde, est que c’est tout à fait contraire à chacune des lois de la vie humaine ou animale, et contraire à la morale, au but et aux institutions d’une société de procréation. Il n’y a simplement aucun bon argument pour l’homosexualité ; il y a cependant des tas d’arguments contre.
L’homosexualité : apprise.
Certains psychiatres disent que l’homosexualité est apprise, non innée : que la sexualité humaine est une énergie sans direction, dirigée vers le chemin de l’hétérosexualité par la société, et les homosexuels se sont d’une certaine façon écartés du droit chemin. Les pères et les mères sont généralement blâmés et aux beaux jours de la psychologie freudienne, il était normal de croire que tous les mâles homosexuels avaient des mères dominatrices, séductrice et manipulatrice (qui les protégeaient d’un amour de soeurette) et d’un père absent (modèle de père faible). Irving Bieber soutient que dans aucun des cas qu’il a traité ou étudié, il n’a vu une relation père-fils normal. Un psychiatre de Toronto m’a déclaré que les homosexuels qu’il a traités ont eu des " relations non satisfaisantes " avec leurs parents. Près de 40% des lesbiennes ont une mère morte ou divorcée.
Les permutations et combinaisons de toutes ces théories ont de quoi donner le vertige. Ils amènent toutes sortes de sociologues et psychiatres à expérimenter avec l’environnement social dans l’espoir de découvrir la dynamique qui sous-tend la " condition ". Les homosexuels n’aiment pas non plus ce genre de théorie, parce qu’elle implique qu’une pathologie est présente—ils seraient malades—et que, donc, la société a raison d’éviter leur façon d’être et de chercher un remède. Ils imaginent les inspecteurs de l’état qui les cherchent comme s’ils étaient des bébés et les placent dans des cliniques de rééducation. A ce propos, la frayère de la croissance de l’homosexualité la plus dangereuse doit certainement être la garderie à long terme. Ceci parce que les psychologues du développement ont découvert que la période de 18 à 24 mois de la vie est cruciale pour la formation de l’identité sexuelle. La psychologue britannique Elizabeth Moberly prétend de façon fort convainquante que " le besoin d’amour homosexuel est essentiellement une recherche d’affection parentale ". Elle écrit que " le facteur général dans tous les cas est le besoin qui aurait du être comblé par un attachement parent-enfant, et qui reste encore à combler. Les homosexuels recherchent l’accomplissement de ce besoin normal d’attachement, qui a été anormalement négligé au cour du procédé de croissance " Si Moberly a raison, à partir de la pression féministe/égalitaire pour les garderies universelles nous pouvons nous attendre à des conséquences extraordinaires inattendus : des centres de formation de pathologies sexuelles subventionnés par nos taxes. (les soulignés sont de Grangalo)
De toute façon, la plupart des parents ont fortement l’impression que l’homosexualité est apprise, pas inné et ils ne veulent pas voir leurs enfants s’approcher des homosexuels. En 1985, l'Institute for the Scientific Investigation of Sexuality (ISIS, renommé Family Research Institute en 1989) a trouvé que 97% des hétérosexuels mâles et femelles ont déclaré que leur première expérience sexuelles fut hétérosexuel, alors que 85% des homosexuels mâles et 29% des lesbiennes ont dit que leur première expérience fut homosexuel ou bissexuel.
Ce que les deux modèles ont en commun est le fait qu’il s’appuie sur l’illusion déterministe : l’idée que quelque chose hors de nous-mêmes est responsable de ce que nous sommes et, par extension, de nos comportements et de nos choix moraux.
L’homosexualité : un choix
Une fois que les deux premiers modèles ont été rejetés parce qu’ils suggèrent une pathologie curable, les homosexuels n’ont plus que le modèle du libre choix. Cela les rend très inconfortable, parce que cela stipule que tous les comportements humains sont le résultat de valeurs personnelles, de self contrôle et de caractère. Cela signifie qu’en face de la décision de charmer ou de céder à quelqu’un du même sexe ou du sexe opposé, il y a toujours un point de décision—un point où ils peuvent accepter ou refuser leurs propres désirs, curiosités, tentations ou luxure. Par-dessus tout, il y a un point où ils peuvent diriger ou rediriger les conséquences de leur propre vie sur la base de valeurs qu’ils soutiennent ou refusent librement. Ils choisissent leur propre comportement. Et en choisissant leur propre comportement, ils agissent comme agents moraux de leur société, et porte une part de responsabilité dans les effets sur l’ensemble de la société. Immanuel Kant disait que même en l’absence d’un code moral religieux, les humains peuvent se guider sur ce qu’il appelle " l’impératif catégorique ". Cet impératif---et je paraphrase--- prend la forme d’une seule question sérieuse à se demander quand nous entreprenons un acte, c’est à dire : " Quel sorte de monde sera créé si tout le monde fait ce que je me prépare à faire ? ". En d’autres termes, Kant dit qu’en choisissant certain comportement nous les légitimons pour tous les autres. Et aucun homosexuel ne peut avancer un argument moral sérieux à l’effet que le monde serait un meilleur endroit si tout le monde choisissait sa façon., d’abord, parce que il n’y aurait plus personne dans le monde pour en jouir. Il est risible de prétendre que l’homosexualité peut être un comportement légitime d’affirmation de vie. C’est ainsi qu’ils sont pris dans la coupe du dilemne moral.
De toute façon, face à un appétit sexuel qu’ils veulent satisfaire, dans un monde qui a élevé la gratification personnelle à un statut presque théologique, certains homosexuels prennent cette position en défiant le monde. Ils choisissent leur comportement parce que c’est bon. Et les ‘leaders’ du groupe activiste Queer Nation sortent en publique, chantant fiévreusement " Nous sommes bizarres, nous sommes fiers, nous sommes fabuleux ! " ou menaçant, comme Greg Pavelich membre de Toronto, de " nous ne serons plus de bons petits garçons et filles ". Greg a déclaré qu’il ressentait une " grande sensation de pouvoir " en embrassant son partenaire gai en public (Toronto Star, janvier 21, 1991). Ce qu’il a plutôt ressentit est la courte explosion de soulagement qui survient quand les humains confondent le pouvoir du nombre et la force morale.
Toutefois, la plupart des homosexuels rejettent le modèle du choix, tout simplement parce qu’il les oblige à expliquer pourquoi ils ont choisi ce comportement anti-nature qui est mauvais pour la société. Le fait que 60% de tous les homosexuels soient d’accord pour dire "qu’ils pourraient être changés pour devenir uniquement hétérosexuel " souligne encore d’avantage que leur position est politique (C.Williams and M. Weinnberg, 1971).
Position de l’auteur
Ma façon de voir est qu’une population humaine peut devenir homosexuelle sous certaines conditions extrêmes. Par exemple, un groupe de jeunes enfants sans connaissance sexuelle, élevés sur une île déserte par un homosexuel finiront probablement par préférer le comportement homosexuel. En d’autres termes, il est très possible d’entraîner une jeune population à aimer le comportement homosexuel. Ce qui empêche cela d’arriver sur une grande échelle sont les sanctions sociales contre cela. Les sociétés font disparaître intentionnellement le comportement homosexuel pour que de telles situations extrêmes ne puissent se produire.
Deuxièmement, il peut y avoir un très petit nombre de gens avec prédisposition pour choisir le comportement homosexuel. Notez que j’utilise tous les modèles ici. Certains peuvent être prédisposés, de la même façon qu’un alcoolique peut être disposé à boire si la boisson est disponible. Mais rien si ce n’est le désir personnel ne feront sauter la bouteille (ou le pénis) dans la bouche. (les soulignés sont de Grangalo) Après tout, toutes les sociétés ont des gens avec des prédispositions de toute sorte à des appétits bizarres ou des comportements homosexuels, suicidaires, alcooliques, tueurs, voleurs, colériques, ou à mauvais caractère. Ça a toujours été comme ça, et ça le restera.
Extraits de : The War Against The Family , William D. Gairdner , Stoddart
Traduction: Grangalo
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MessageSujet: Re: Qui est l'inventeur de la "théorie du genre" ?   Qui est l'inventeur de la "théorie du genre" ? Icon_minitimeDim 16 Juin 2013 - 22:25

j'ai déja vu un reportage a la télévision sur john money et une des victimes a fait un témoignage touchant.l'horreur qu'il a fait vivre a ses victimes est a glacer le sang et j'ai l'impression que la victime se retenait pour ne pas tout dire...(il y a peut-être d'autres choses horribles qu'on ne saura jamais).je suis contre le changement de sexe,c'est certain et j'ai lu dans le journal que certaines personnes qui avaient changées de sexe le regrettaient vraiment.

[Est-ce nécessaire ?]
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boisvert
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MessageSujet: Re: Qui est l'inventeur de la "théorie du genre" ?   Qui est l'inventeur de la "théorie du genre" ? Icon_minitimeLun 17 Juin 2013 - 14:19

Etant donné que beaucoup d'articles ont "mystérieusement" disparu depuis ma dernière intervention, je  "colle ici"  ce que j'ai pu sauver de la dénonciation de ces horribles monstres....  Je retraiterai ces "infos brutes" dans les jours qui viennent !


Boisvert

8 juin 2013 par Al Mighty

QUI EST JOHN MONEY ?

La traduction française de la page anglaise de Wikipédia :
John Money, né le 8 juillet 1921 et mort le 7 juillet 2006, est un psychologue et sexologue néo-zélandais.
Il a fortement contribué à forger le terme anglophone gender dans son acception académique, à savoir les différences socialement construites entre hommes et femmes.
Il fut critiqué pour l’opération chirurgicale de réattribution sexuelle réalisée sur David Reimer, alors âgé de 22 mois.
BIOGRAPHIE
Né à Morrinsville en Nouvelle-Zélande, d’une famille issue du courant des Frères de Plymouth, John Money étudie la psychologie à l’université Victoria de Wellington et y obtient un double master en psychologie et éducation fin 1944. En 1947, à l’âge de 26 ans, il émigre aux Etats-Unis pour étudier à l’Institut Psychiatrique de l’université de Pittsburgh puis obtient son PhD à l’université de Harvard en 1952. Il a été brièvement marié dans les années 50 et n’a pas eu d’enfants.
Au cours de sa carrière, Money propose et développe plusieurs théories auquel il associe une terminologie spécifique : l’identité de genre, les rôles de genre, et les lovemaps (en). Money fut professeur de pédiatrie et de psychologie médicale à l’université Johns Hopkins de 1951 à sa mort. Durant cette période, il participa au département sur les comportements sexuels (Sexual Behaviors Unit), qui lança des études sur la chirurgie de réattribution sexuelle. La Société allemande pour la recherche socio-scientifique sur la sexualité (en) lui décerne la médaille Magnus Hirschfeld en 2002.
Money était un grand amateur d’art néo-zélandais, aussi bien littéraire que visuel. Il était l’ami et le partisan notoire de l’écrivain Janet Frame. En 2002, alors que sa maladie de Parkinson s’aggrave, Money fait don d’une part substantielle de sa collection d’art à l’Eastern Southland Art Gallery de Gore en Nouvelle-Zélande. En 2003, la première ministre de Nouvelle-Zélande, Helen Clark, y inaugure l’aile John Money.
Money décède le 7 juillet 2006, à Towson dans le Maryland, des suites de complications de sa maladie de Parkinson.
OUVRAGES DE SEXOLOGIE
Identité sexuelle, identité du genre et gender roles
La définition du genre de Money repose sur sa compréhension des différences entre les sexes parmi les êtres humains. Selon lui, le fait qu’un sexe produise des ovules ou des spermatozoïdes est l’irréductible critère de différenciation des sexes. Cependant, d’autres différences dérivent de cette première dichotomie.
Ces différences impliquent la manière dont l’urine est expulsée du corps, ainsi que d’autres dimorphismes sexuels. Selon la théorie de Money, les différences sexuelles « connexes » sont caractérisées par la plus petite taille des femelles, ainsi que leurs problèmes de déplacements pendant la grossesse ; ce qui rendrait les mâles plus aptes à l’itinérance et à la chasse. Les différences sexuelles « arbitraires » sont celles purement conventionnelles : par exemple le choix des couleurs (bleu pour les garçons, rose pour les filles). Certaines différences apparaissent plus tardivement, comme les opportunités de carrières pour les hommes par rapport aux femmes.
Enfin, Money créa le terme gender role (rôle de genre) qu’il différencie du concept plus traditionnel de « rôle des sexes ». Selon lui, les organes génitaux ainsi que les rôles érotiques sexuels devaient désormais, selon sa définition, être désignés par le terme plus général de "rôle des genres", ainsi que les activités non-érotiques et non-génitales définies conventionnellement par la société comme s’appliquant aussi bien à l’homme qu’à la femme.

Money fit du genre un concept plus large que celui de mâle/femelle. Il y intègre non seulement le statut d’homme ou de femme, mais aussi une question de reconnaissance personnelle, de place dans la société, une définition juridique ; il se se fonde pas seulement sur les organes génitaux mais aussi sur des critères comportementaux et somatiques qui vont au-delà de la différenciation génitale.
L’identité de genre est la catégorisation de soi-même comme homme, femme ou ambivalent, en fonction de ce que le sujet ressent et de ce qu’il perçoit de son comportement.
Le « rôle du genre » est la manifestation publique de son identité de genre, ce que l’on dit ou fait qui donnent aux gens une base pour déterminer si untel est un homme, une femme, ou n’entre dans aucune de ces deux catégories.
Pour souligner l’idée que l’identité de genre et les rôles de genre sont deux aspects de la même question, Money inventa un nouveau terme : Gender-Identity/Role ou G-I/R (l’identité/rôle de genre).
Money inventa également le terme de lovemap (en).
En 1972, Money présenta ses théories dans Man & Woman, Boy & Girl, ouvrage grand public de vulgarisation. Le livre prend comme point de départ le cas David Reimer (voir plus bas).
Gay, Straight and In-Between: The Sexology of Erotic Orientation
Dans ce livre, (Oxford 1988 : 116), Money définit le concept de bodymind, "corps-esprit", comme un moyen pour les scientifiques de sortir des lieux communs de la dichotomie entre inné et acquis, nature et éducation, biologique et social et psychologique et physiologique en développant une science de la sexualité. Il suggère que toutes ces dichotomies se fondent sur l’ancienne conception, pré-platonicienne et pré-biblique, de l’opposition du corps et de l’esprit, du physique et du spirituel. En fabriquant ce terme de « corps-esprit », Money souhaite aller au-delà de ces principes profondément enracinés dans notre folklore et notre psychologie vernaculaire.
Money développe en même temps (Oxford 1988: 114-119) une vision des "concepts du déterminisme" qui sont transculturels, transhistoriques et universels : tous les humains les ont en commun, sexologiquement parlant ou non. Ceux-ci incluent le pairbondage (l’attachement deux par deux, mère-enfant et mâle-femelle), le troopbondage (le regroupement en famille, tribu…), l’abidance (la survivance dans un milieu donné), l’ycleptance (la tendance à nommer) et leforedoomance (la condition mortelle), ainsi que les stratégies d’évitement dites d’engagement, d’inhibition et d’interprétation2.
CONTROVERSES
La réattribution sexuelle de David Reimer
Article connexe : David Reimer.
Durant sa vie professionnelle, Money fut considéré comme un expert des comportements sexuels, spécialement pour avoir démontré que le genre était un acquis, un apprentissage plutôt que quelque chose d’inné. Plusieurs années plus tard, cependant, son cas le plus célèbre se révélera un échec. Il s’agit de la réattribution sexuelle de David Reimer, également connue comme « le cas John/Joan » dans le monde académique.
En 1966, une circoncision ratée laissa Bruce Reimer, alors âgé de 8 mois, sans pénis. Sur la recommandation de Money, 14 mois plus tard, on décida de faire du bébé une fille : on procéda à une ablation des testicules et on rebaptisa Bruce Brenda. Money recommanda également un traitement hormonal lourd à base d’œstrogènes (ce qui fut fait) ainsi qu’une vaginoplastie à la puberté (ce qui ne fut pas fait). Money publia un nombre important d’articles affirmant que la réattribution était un succès.
En 1997, Milton Diamond rapporta que la réattribution était au contraire un échec, que Reimer ne s’était jamais identifié comme femme ou comporté d’une manière typiquement féminine, qu’il avait changé de traitement hormonal pour prendre de la testostérone, et qu’il avait pris le nom de David à l’adolescence. Money fut accusé d’avoir falsifié ses recherches, mais ses défenseurs répondirent qu’il ne voyait Reimer qu’une fois par an durant toute la période de son implication sur ce cas, qu’il n’avait eu aucun contact avec la famille Reimer après 1978, et que durant ses visites annuelles, la famille avait menti à l’équipe du laboratoire sur les progrès de l’enfant.
« Je me sentais comme Frankenstein, une création de laboratoire » déclara David à la presse. Dès l’âge de six ans. Money l’inonde ainsi de questions lancées en rafale: as-tu le goût de faire l’amour avec des garçons? Quelle est la différence entre un garçon et une fille? Aimes-tu ce que tu as entre les deux jambes? « C’était comme un lavage de cerveau » avouera plus tard David au journaliste John Colapinto, lequel écrira un livre dévoilant le pot-aux-roses, As Nature Made Him: The Boy who Was Raised as a Girl.
 
En 2000, David et son frère jumeau, Brian, déclarèrent que le Dr Money avait pris plusieurs clichés des jumeaux durant leur traitement tandis qu’il les forçait à simuler l’acte sexuel à l’âge de 7 ans. En 2002, le frère jumeau de David fut trouvé mort des suites d’une overdose des médicaments qu’il prenait pour traiter sa schizophrénie. Le 5 mai 2004, peu après avoir rompu avec sa femme, David Reimer se donne la mort. Ses parents ont déclaré qu’ils croyaient que les méthodes de Money étaient responsables du décès de leurs deux fils.
Money déclara que la réaction des média aux révélations était le fait de l’extrême droite et des mouvements anti-féministes. Il déclara notamment que ses détracteurs croyaient que « la masculinité et la féminité étaient d’origine génétique, de sorte que la place des femmes devait être à la cuisine et au lit ». Cependant, les activistes intersexes ont aussi critiqué Money, déclarant que l’échec dissimulé du cas David Reimer avait conduit à la réattribution sexuelle traumatique de milliers d’enfants. D’après ses collègues, en privé, Money aurait été mortifié par le scandale, et personne ne devait l’évoquer en sa présence. Ses propres opinions se développèrent et changèrent au fil des ans.
Tolérance de la pédophilie
John Money joua un rôle dans les débats sur la chronophilie, incluant l’infantophilie, l’éphébophilie, et la pédophilie. Il affirmait que ni les chercheurs ni le public ne faisaient la distinction entre pédophilie affective et pédophilie sadique. Money croyait que la pédophilie affective se fondait sur l’amour et non sur le sexe. Son opinion était que la pédophilie affective était causée par un surplus d’amour parental qui devenait érotique, et n’était donc pas un trouble du comportement.
Citation :
« Si j’étais témoin du cas d’un garçon âgé de 10 ou 11 ans intensément et érotiquement attiré par un homme d’une vingtaine ou d’une trentaine d’années, et que la relation était totalement réciproque… alors je ne pourrais la qualifier de pathologique en aucune manière. »

 
En revanche, il estimait que l’hétérosexualité était un autre exemple d’un concept sociétal, et donc, idéologique et superficiel.

Il a été découvert que Money a écrit dans une revue hollandaise traitant de la pédophilie, Paidika

RÉFÉRENCES



  • (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « John Money »





  1. David Haig, « The Inexorable Rise of Gender and the Decline of Sex: Social Change in Academic Titles, 1945–2001 » [[url=http://archive.wikiwix.com/cache/?url=http://www.oeb.harvard.edu/faculty/haig/publications_files/04inexorablerise.pdf&title=%C2%AB%C2%A0The Inexorable Rise of Gender and the Decline of Sex%3A Social Change in Academic Titles%2C 1945%E2%80%932001%C2%A0%C2%BB]archive[/url]], Archives of Sexual Behavior, avril 2004, p. 87–96

  2. Concepts of Determinism [[url=http://archive.wikiwix.com/cache/?url=http://scottmacleod.com/anthropology/determinism.htm&title=Concepts of Determinism]archive[/url]], extrait de John Money, Gay, Straight and In-Between: The Sexology of Erotic Orientation, Oxford, 1988, p. 114-119
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boisvert a écrit:
Etant donné que beaucoup d'articles ont "mystérieusement" disparu depuis ma dernière intervention

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