La solution que le Québec propose : l'euthanasie pour tous, iniquement appelée "mourir dans la dignité". C'est assez simple comme procédé. On touche la fibre émotionnelle par une fausse compassion et hop, on injecte une substance létale en l'appelant un "soin de fin de vie". Pour l'instant, c'est encore criminel mais on trouve le moyen de libérer les lits d'hôpitaux ainsi (c'est une histoire d'horreur que j'ai vécu dans le dernier mois) : une personne âgée (95 ans, en relativement bonne santé, autonome dans son appartement, assez "pimpante") entre à l'hôpital pour une chirurgie mineure afin de dégager le sang des artères qui ne se rend plus au bout d'un orteil et qui commence à nécroser. Le procédé est simple : le jour où l'opération doit avoir lieu, on met le patient au jeûne, puis, on décide de reporter la chirurgie au lendemain. Le lendemain, on garde la personne au jeûne (sans soluté !), puis, on décide de reporter la chirurgie encore d'une journée. Ainsi de suite pour 5 ou 6 jours. Après ce temps, la personne dans un état presque mort (la déshydratation tue à petit feu) on considère la personne "en fin de vie" et qu'il est inhumain de la laisser ainsi qu'il vaudrait mieux qu'elle soit morte. Puis, on opère. Puis, la personne ne s'en remettra jamais car elle n'est pas aidée pour être nourrie et ils n'arrivent plus à lui injecter un soluté faute de trouver des veines sous la peau et les os. La famille a beau tenter de "réanimer" la personne par quelques bouchées, il est trop tard. La gangrène se répand, la personne se meurt.
Et voilà comment ma grand-mère est morte d'un ongle incarné dans un hôpital du Québec...
Achevez-les pour libérer des lits car on n'a plus les moyens de les soigner et les tenir en vie, même s'il restait seulement quelques années (ou peut-être quelques mois) à vivre.