16 décembre avec Sainte Faustine 16. XII. 36. J’offre ce jour pour la Russie. J’offre pour ce pauvre pays toutes mes souffrances et mes prières. Après la Sainte Communion Jésus me dit : « Je ne peux plus tolérer ce pays. Ne me lie pas les mains, ma fille ! »
Je compris que, si ce n’étaient les prières des âmes agréables à Dieu, toute cette nation serait déjà anéantie. Oh ! Comme je souffre pour ce pays qui a chassé Dieu de ses frontières !
818. Ô Source inaltérable de Miséricorde Divine qui coulez sur nous il n’y a pas de frontière pour Votre bonté ! Fixez, ô Seigneur, la force de Votre Miséricorde à la mesure du gouffre de ma misère, car Votre pitié n’a pas de limites ! Votre Miséricorde qui étonne les esprits humains et angéliques est étrange et inaccessible.
819. Mon Ange Gardien me recommanda de prier pour une âme et le matin j’appris que c’était un homme, qui justement était entré en agonie. Jésus me fait connaître d’une façon étrange quand quelqu’un a besoin de ma prière. Je reconnais en particulier quand c’est une âme qui entre en agonie. Maintenant cela m’arrive plus souvent qu’autrefois.
820. Jésus me fit connaître qu’une âme, qui vit pour la volonté Divine, Lui est très agréable et Lui rend ainsi une très grande gloire.
821. Aujourd’hui je compris que, même si je ne parvenais pas à accomplir ce que Dieu exigeait, je sais que je serai récompensée comme si j’avais tout accompli. Car Il voit l’intention avec laquelle je commence.
Et même s’Il me reprenait aujourd’hui, Son œuvre ne pourrait en souffrir, car Lui seul est le Souverain Maître de l’œuvre et de celui qui agit. Il dépend de moi de L’aimer à la folie. Toutes les épreuves ne sont un rien devant Lui. L’amour a une grande force, une signification et un mérite. Il a ouvert dans mon âme de grands horizons. L’amour comble les abîmes.
Source : Le Petit Journal
Que Jésus Miséricordieux vous bénisse
ami de la Miséricorde