Sainte Faustine et la neuvaine à la Miséricorde Divine 850. 28. XII. 1936. Aujourd’hui, j’ai commencé la neuvaine à la Miséricorde Divine. C’est-à-dire que je me transporte en esprit devant ce tableau, je récite le chapelet que le Seigneur m’a enseigné. Le second jour de la neuvaine, je vis ce tableau comme vivant, avec d’innombrables ex-voto accrochés autour de lui et je voyais de grandes multitudes de gens venir ici. Beaucoup de gens rayonnaient de bonheur.
Ô Jésus, de quelle joie a battu mon cœur ! Je faisais la neuvaine à l’intention de deux personnes, notre archevêque et l’abbé Sopoko. Je prie ardemment Dieu d’inspirer notre archevêque, afin qu’il daigne approuver ce petit chapelet si agréable à Dieu, et ce tableau, et qu’il ne retarde pas cette œuvre.
851. Aujourd’hui, tout d’un coup le regard du Seigneur m’a transpercé comme un éclair. Alors j’ai vu les petits grains de poussière dans mon âme. Voyant ma nullité toute entière, je tombai à genoux et je demandai pardon au Seigneur.*
Et avec une grande confiance, je me plongeai dans Son infinie Miséricorde. Une telle connaissance ne me déprime pas, ni ne m’éloigne du Seigneur, mis elle éveille plutôt dans mon âme, un plus grand amour et une confiance sans bornes. Le repentir de mon coeur est uni à l’amour.
Ces singulières lumières divines forment mon âme. Ô doux rayons Divins, éclairez-moi jusque dans les plus secrètes profondeurs, car je désire parvenir à une plus grande pureté de coeur et d’âme ! Lire
Source : Le Petit Journal
Que Jésus Miséricordieux vous bénisse
ami de la Miséricorde