Sujet: Le chemin, la vérité, la vie Ven 26 Juin 2020 - 8:06
Lecture du deuxième livre des Rois la neuvième année du règne de Sédécias, le dixième jour du Lixième mois, Nabucodonosor, roi de Babylone, vint attaquer Jérusalem avec toute son armée ; il établit son camp devant la ville qu’il entoura d’un ouvrage fortifié. La ville fut assiégée jusqu’à la onzième année du règne de Sédécias. Le neuvième jour du quatrième mois, comme la famine était revenue terrible dans la ville et que les gens du pays n’avaient plus de pain une brèche fut ouverte dans le rempart de la ville. Mais toute l’armée s’échappa dans la nuit,par la porte du double rempart, près du jardin du roi, dans la direction de la plaine du Jourdain, pendant que les Chaldéens cernaient la ville. Les troupes chaldéennes poursuivirent le roi et le rattrapèrent dans la plaine de Jéricho ;toute son armée en déroute l’avait abandonné. Les Chaldéens s’emparèrent du roi, ils le menèrent à Ribla, auprès du roi de Babylone, et l’on prononça la sentence. Les fils de Sédécias furent égorgés sous ses yeux, puis on lui creva les yeux, il fut attaché avec une double chaîne de bronze et emmené à Babylone. Le septième jour du cinquième mois, la dix-neuvième année du règne de Nabucodonosor, roi de Babylone, Nabouzardane, commandant de la garde, au service du roi de Babylone,,fit son entrée à Jérusalem. il incendia la maison du Seigneur et la maison du roi; il incendia toutes les maisons de Jérusalem, – toutes les maisons des notables. Toutes les troupes chaldéennes qui étaient avec lui abattirent les remparts de Jérusalem. Nabouzardane déporta tout le peuple resté dans la ville, les déserteurs qui s’étaient ralliés au roi de Babylone, bref, toute la population. Il laissa seulement une partie du petit peuple de la campagne, pour avoir des vignerons et des laboureurs.
PSAUME (Ps 136 -(137) R/ Que ma langue s’attache à mon palais si je perds ton souvenir ! Au bord des fleuves de Babylone nous us étions assis et nous pleurions, nous souvenant de Sion ; aux saules des alentours nous avions pendu nos harpes.
C’est là que nos vainqueurs nous demandèrent des chansons, et nos bourreaux, des airs joyeux : « Chantez-nous, disaient-ils, quelque chant de Sion. »
Comment chanterions-nous un chant du Seigneur pour une terre étrangère ? Si je t’oublie, Jérusalem, que ma main droite m’oublie !
Je veux que ma langue s’attache à mon palais si je perds ton souvenir, si je n’élève Jérusalem, au sommet de ma joie.
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu Lorsque Jésus descendit de la montagne, des foules nombreuses le suivirent. Et voici qu’un lépreux s’approcha, se prosterna devant lui et dit : « Seigneur, si tu le veux, tu peux me purifier. » Jésus étendit la main, le toucha et lui dit : « Je le veux, sois purifié. » Et aussitôt il fut purifié de sa lèpre. Jésus lui dit : Attention, ne dis rien à personne, mais va te montrer au prêtre. Et donne l’offrande que Moïse a prescrite : »
Les textes de ce jour semblent s'opposer plutôt que de se rejoindre. Et il en est ainsi: il nous faut sortir du monde dans lequel le mal lutte contre le bien - et cela chaque jour, et même dans le cadre familial. Si vous prenez le livre de Bernanos, vous trouverez un tout jeune prêtre qui va tender s'efforcer de rétablir la grâce, là où le mal a commencé de semer le doute là lumière devrait régner, vainqueur sur toutes vagues lueurs...
S'il est un guide, dans cette recherche de vérité, c'est une immense jour qui se met à briller sur le font. Bienheureuse celles et ceux qui se sentent le besoin de comprendre pourquoi tant de malheureux peinent à rencontrer un véritable bonheur.
Toutes et tous, sans la moindre exception est animé intérieurement de connaitre les raisons et les buts de de ce "pèlerinage sur la terre." Qui vu'ils se mettent à chercher car le Seigneur est bien le chemin qui conduit à la vie - laquelle aboutit en vie éternelle !