Le film de ce soir

J'emporte avec moi ce soir un film intitulé "La bataille de Passchendaele", qui rapporte un épisode de la guerre 14-18 dans lequel furent engagés des forces canadiennes?

À l'automne 1917, après le grand succès de l'armée canadienne à la bataille de la crête de Vimy en avril de la même année, on envoie celle-ci dans le sud de la Belgique.

Au début du mois d'octobre, les Canadiens sont envoyés pour prendre la relève de l'ANZAC et participer à l'offensive visant à prendre Passchendaele.

Le 26 octobre, l'offensive canadienne commence. La réussite de la bataille amère de Passchendaele tient à l'héroïsme des hommes qui sont parvenus à franchir les zones ennemies malgré la résistance farouche qu'on leur opposait. L'avancée dans la boue et sous les tirs ennemis est lente, et les pertes sont lourdes. Malgré l'adversité, les Canadiens atteignent les abords de Passchendaele le 30 octobre, à la fin de la seconde attaque, sous une pluie battante.

Je ne suis pas trop amateur de tels films, mais j'ai à présent beaucoup de temps libre devant moi. Je vais prendre quinze jours de congé, ce qui me semble 'impossible', car j'ai derrière moi neuf années consécutives, jour après jour, de travail, sans autre repos que celui du dimanche...

Je suis certain que par un tel épisode (douleurs obligeant au repos) le Seigneur veut que je fasse une sorte de "retraite": Il a quelque chose à me dire...

Trouvé la bande-annonce :

Tout à la fin, dans l'extrait que je passe ci-après, le sergent qui avait tué inutilement un jeune Allemand au début de son aventure personnelle, se 'rattrape' en portant sur son dos un blessé qui n'est autre que le frère de la femme qu'il aime. D'un côté comme de l'autre, pendant quelques instants, plus personne ne tire. On dirait tout d'un portement de croix - un second Simon de Cyrène ! J'ai beaucoup apprécié et je vous conseille ce film de guerre, qui n'est pas de "l'action pour de l'action", ni une justification quelconque du bien fondé des guerres...





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L'Evangile selon saint Matthieu - de Pasolini.

J'ai une grande préférence pour le film de Zefirelli, mais j'aime beaucoup certains passages de Pasolini comme celui que je vous soumets en langue originale sous-titrée. Quelle tirade !




Qu'en pensez-vous ?

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