Un scientifique de haut rang plaide en faveur d’une reduction massive de 90% de la population terrestre. Les collègues professeurs et scientifiques applaudissent et clament leur approbation au programme des élites de contrôle des populations.
Traduit de l’article de Paul Joseph Watson du 3 avril 2006
http://www.prisonplanet.com/articles/april2006/030406massculling.htm
Un scientifique de haut rang a donné une conférence à l’académie des sciences du Texas le mois dernier, dans lequel il plaida en faveur de la nécessité d’exterminer 90% de la population avec le virus ebola qui se propage par voie aérienne. Les commentaires du Dr Eric Pianka, à donner la chair de poule, ainsi que leur accueil enthousiaste met encore une fois en exergue le programme des élites de prendre des mesures terrifiantes de contrôle des populations.
Il fut ordonné que le discours de Pianka ne soit pas enregistré. Avant qu’il ne commence, les caméras furent écartées alors que des centaines de personnes, étudiants, scientifiques et professeurs, assistaient à la conférence.
Disant que le grand public n’était pas préparé à entendre l’information présentée, Pianka commença par s’exclamer: “Nous ne valons pas mieux qu’une bactérie”, se lançant dans une diatribe malthusienne contre la surpopulation qui détruit la planète.
Debout devant la projection d’un squelette humain, Pianka plaida allègrement en faveur du virus ebola comme étant sa méthode préférée pour exterminer les 90% nécessaires des humains, le préférant au SIDA pour sa plus grande rapidité à entraîner la mort. Les victimes du virus ebola souffrent de la mort la plus infâme qu’on puisse imaginer, car le virus tue en liquéfiant les organes intérieurs. Le corps se dissout littéralement alors que la victime se tord de douleur saignant par tous ses orifices.
Pianka cita ensuite la fraude du pic de production pétrolière comme une raison supplémentaire de lancer un génocide global. “Et les sources d’énergies fossiles arrivent à épuisement “ dit-il, “donc je pense que nous devons réduire à deux milliards, ce qui représenterait à peu près un tiers de la population actuelle “.
Un peu plus tard, le scientifique se réjouit des dégâts potentiels de la grippe aviaire et parla, tout rayonnant, de la politique chinoise forçant les familles à n’avoir qu’un seul enfant, avant de commenter plein d’enthousiasme “Nous devons stériliser chaque individu sur terre“.
A la fin du discours de Pianka, l’audience explosa, non pas en huées et en sifflets, mais en applaudissements et en acclamations alors que des membres de l’audience se rapprochaient du scientifique pour lui poser des questions. Pianka fut plus tard récompensé comme scientifique distingué par l’Académie. Pianka n’est pas un cinglé. Il a donné des conférences dans des universités prestigieuses du monde entier.