- annelyse a écrit:
- Chers amis,
Lors de son passage en France, Le Seigneur a parlé longuement de la puce. Vous pouvez écouter cet enregistrement sur ce lien :
[Lien menant à un site hétérodoxe : révélations privées non reconnues. Merci de votre compréhension. Cordialement | Hélène]
Puis aller à : Parigné-sur-Braye, France, le 3 mars 2008, p.m., partie 2
VOICI LE TEXTE :
La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Amen, Seigneur.
Q. Beaucoup de messagers parlent de puce; j’ai bien du mal à comprendre tout ça, je sens… je veux savoir ce que le Seigneur a à nous dire?
R. La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce que ce monde prépare pour chacun de vous, c’est une emprise sur vos pensées, une emprise sur vos choix, une emprise sur ce que vous, vous voulez vivre.
Tout être humain est libre, parce que nous venons de Dieu. Nous avons toujours été dans cette liberté de choisir ce qui est bien et choisir ce qui est mal, mais nous avons tellement choisi ce qui est le mal que nous avons étouffé le bien. Nous avons donné du pouvoir à Satan et ce pouvoir a fait qu’il a maintenu des enfants de lumière sous son pouvoir dominateur, menteur. Alors, on dit que les enfants seront marqués au front ou à la main; on dit que les enfants auront besoin de cette marque pour pouvoir acheter et vendre; on dit qu’ils auront besoin de cette marque pour se vêtir, s’alimenter, se loger, se réchauffer; on dit que cela va leur apporter une liberté; on dit que cela va faciliter le commerce, l’échange entre un pays et un autre; on dit que cela va faire en sorte que nous pourrons facilement voyager d’un pays à l’autre; on dit que cela apportera de la confiance lorsqu’on voudra obtenir plus de matériel, car cela sera crédible; on dit que les soins médicaux seront facilités à cause de ce qui sera sur notre main ou sur notre front; on dit que nos enfants seront protégés, qu’il y aura de la justice, qu’il n’y aura pas plus pour un que pour l’autre; on dit que cela sera à la surface de la planète, réunissant tous les enfants sur le même piédestal; on dit qu’il n’y aura plus de riche ni de pauvre; on dit que cela sera bon pour tous les enfants, ils vivront dans la paix, il n’y aura plus de guerre, il n’y aura plus de rivalité : mensonge!
On aura pouvoir sur ceux qui auront la marque, car ils contrôleront, ils contrôleront la marchandise. Et ne croyez pas que la marchandise, c’est celle que nous, nous sommes habitués à nous procurer! Ce sera nous, ce sera tous ceux qui auront la marque sur la main ou sur le front : nous serons leur marchandise. Ils seront sous le pouvoir de Satan et ils nous domineront. Ils n’auront que faire de l’argent, car ils ont tout cela; ce qu’ils veulent, c’est nous dominer, nous maintenir sous leur pouvoir : cela leur donnera satisfaction.
L’enfant qui naîtra, ils auront de l’égard pour lui jusqu’au moment où ils s’apercevront qu’il n’apporte rien de bon : il disparaîtra. L’être humain qui commencera à courber disparaîtra. L’être humain qui sera pour eux rentable, ils l’utiliseront, ils l’utiliseront pour se distraire, car s’ils ont besoin de plaisir, ils se serviront de l’un et de l’autre pour en faire ce qu’ils veulent, car ce qu’ils veulent, c’est satisfaire leurs sens, apporter du pouvoir à leur pouvoir. Cela veut dire de l’eau au moulin et vous serez l’eau et eux seront le moulin, car ils prendront ce qu’il y a de meilleur et ils jetteront ce qui n’est pas bon selon leur bon plaisir, car ils ne sont pas le meunier, c’est Satan qui est le meunier. Eux, ce sont ceux qui se sont laissé prendre au piège de Satan, car Satan les utilisera et lorsqu’il aura fini avec eux, il les écrasera.
Car viendra le temps où il devra disparaître, car Satan sait qu’il a été vaincu par l’Amour, et il le sait. Il a conçu ce plan pour attaquer l’âme. En attaquant la pensée, le regard, l’écoute, la parole, le mouvement, les sentiments, il atteignait l’âme. C’est votre âme qui l’intéresse, pas votre chair, parce que votre chair suivra l’âme, la chair sera obligée de suivre l’âme.
L’âme appartient à Dieu, l’âme est l’épouse de l’Époux et il la veut, il la veut pour la faire souffrir dans sa mort éternelle, car il est la mort éternelle, il est le néant, il est la noirceur. Lorsqu’il tiendra l’âme de ceux qui se seront donnés à lui et refusés à Dieu, il la fera souffrir et la chair viendra à son tour et elle souffrira, elle souffrira lorsqu’elle sera réunie à l’âme et ira dans l’abîme, là où on ne revient plus et cela se fera à la fin du monde, car ces êtres n’auront pas mérité la chair immortelle : ils iront dans les crevasses de la terre pour attendre le dernier grand jugement.
Il ne faut pas avoir peur de la puce, il y aura tellement de force en ceux qui auront donné leur volonté humaine. Le Seigneur, en ce moment même, nous donne de la paix et de la joie. Ceux qui demeureront dans la paix, ceux qui seront nourris par les grâces de Dieu pour se maintenir dans la paix ne seront pas atteints par la puce, car ils refuseront.
Ils auront confiance que Dieu va les réchauffer, va les habiller, les nourrir. Ils auront un refuge d’amour, ils n’auront plus besoin de ce monde. Ce sont ceux qui pensent que ce monde peut tout pour eux qui se laisseront prendre. Voilà pourquoi le Seigneur, en ces temps, nous dit : «Venez à moi, vous n’êtes plus de ce monde.» C’est ce que nous sommes en train de vivre en ce moment.
Le temps avance et la Mère de Dieu nous demande d’avancer et de faire ce que nous avons à faire et de ne pas penser à demain : ce n’est pas arrivé demain. Vivre le présent, c’est le seul moyen de vivre la paix, d’y goûter et de ne pas sortir de la paix.
Nous avons eu beaucoup à apprendre depuis 2001. Le Seigneur nous a parlé de refuge et vous avez entendu parler de refuge. Le Seigneur nous a dit : «Celui qui préparera le refuge intérieur entrera dans son refuge extérieur», cela veut dire qu’il prépare le seul refuge qui nous maintiendra dans la paix. Si nous sommes dans notre refuge dans la paix, là où nous serons sera notre refuge. Aller dans un refuge extérieur sans être dans votre refuge dans la paix, vous serez à découvert : on vous atteindra, on vous maintiendra sous la peur. Vous serez incapables de comprendre ce que Dieu attend de vous.
Voilà pourquoi il vient parler en les cœurs, voilà pourquoi il nous donne tant de grâces par Maman Marie, tant de grâces par les sacrements, tant de grâces par l’Eucharistie, tant de grâces par les sacramentaux. Laissons-nous nous nourrir par tout ce qu’il nous donne.
Il nous apprend maintenant à ne plus avoir d’idoles. Nous aurons beaucoup d’aide de Marie, car nous avons laissé entrer chez nous des idoles : oui, des Bouddhas, d’autres des déesses, des petits elfes là, on croit que ce sont des anges : ce ne sont pas des anges, des pierres de naissances : ce ne sont que des pierres offertes à des déesses. Il nous parle aussi de pierres magnétiques qui apportent de la guérison : c’est du Nouvel Âge. Il parle de décoration : 99 coqs dans nos maisons pour remplir nos tablettes : ce sont des idoles.
Nous avons quatre à cinq manteaux d’hiver, eh bien, nous nous sommes tellement attachés à notre linge que nous en perdons notre équilibre. Nous sommes portés toujours à magasiner, magasiner, magasiner; nous sommes devenus esclaves de la mode, donc la mode est devenue notre idole, et cela Dieu nous l’explique tranquillement. Il va falloir se dépouiller de nos idoles.
Il va falloir aussi donner à Dieu ce qui est à Dieu : dépouiller la maison. Mais dire : "Oh! c’est ma maison", ce n’est pas rendre à Dieu ce qui est à Dieu. C’est Dieu qui a donné des dons pour construire, c’est Dieu qui a donné des dons pour la beauté, c’est Dieu qui a donné des dons pour pouvoir accueillir des enfants dans sa demeure. Il n’y a qu’un seul hôte chez nous : c’est Dieu. Alors quelle est la différence en dehors (ou en dedans)? C’est Dieu.
Dieu nous apprend que la Parole est notre vie. Il faut donner la place d’honneur à la Bible, il faut donner une place d’honneur à Marie, non pas dans un coin pour décorer le mur bleu avec le ruban bleu de Marie, il faut avoir un esprit d’humilité. Il ne faut pas avoir peur de manquer de bois s’il vient à ne plus avoir de l’électricité, Dieu pourvoira à tout. Ne nous inquiétons pas.
Le temps, Dieu me le dira, je le saurai parce que je serai dans la paix de Dieu. Tout nous sera donné au moment où Dieu le voudra, car tout se passera de l’intérieur. Ce que nous vivons, c’est pour notre intérieur. Rien ne viendra de l’extérieur, absolument rien. Nous avons seulement qu’à vivre notre présent et de nous accomplir.
Être notre oui : "Oui me voici, oui je vais travailler, oui je rencontre des gens, oui je donne une colère, une parole, je donne un sentiment, un regard, une écoute, je te donne cause, choix, conséquences" : voilà que je m’en vais en mission. J’évangélise de mon intérieur : la parole humaine n’a plus sa place. Nous nous sommes rendus là où cela est impossible de réparer. Nous ne pouvons plus réparer avec notre volonté humaine. Dieu, lui, peut en ces temps prendre ce que nous sommes et le transformer pour que nous soyons enfants de la Divine Volonté.
La volonté humaine n’a plus sa place, seule la Divine Volonté viendra chercher ses enfants là où ils sont : dans leurs souffrances, leurs inquiétudes, leurs doutes, leurs angoisses, leurs colères, leurs dépressions, leurs découragements, leur haine. Dieu ira les chercher, il ira les chercher en nous envoyant : nous aurons seulement des mouvements d’amour. Ils reconnaîtront un regard rempli de paix, un sourire qui apporte de la joie à un cœur blessé. Tout parlera : de notre intérieur à eux. C’est ce que nous sommes en train de vivre.
Ne nous inquiétons pas pour notre mari; si cela est, il doit passer par la purification en souffrant. Eh bien, prions pour qu’il obtienne la grâce de souffrir dans la joie de voir qu’il est en train de se laisser transformer. Ce que Dieu fait, nous ne le savons pas.
On regarde notre enfant qui vit une solitude, qui pleure, qui pense au suicide, eh bien : gardons notre paix, prions, donnons notre peur, notre inquiétude : "Toi, Dieu d’amour, tu connais mon cœur de mère, tu as regardé le regard de ta Mère et tu as vu combien elle priait pour toi. Elle te soutenait par ses mouvements. Ses pensées n’étaient que pour toi. Tu as entendu ses paroles qui ne cessaient d’offrir à Dieu le Père son Enfant." On a compris que la Mère de Dieu avait toujours son oui en elle, jamais elle n’a connu la peur.
Dieu connaît ces mouvements, Dieu sait ce que nous ressentons. Il faut se garder dans ce mouvement d’amour et avoir confiance que Dieu connaît notre mari, notre enfant, mieux que nous-mêmes. Il faut que cela arrive pour qu’il s’approche de sa souffrance et qu’il réalise que sa souffrance lui fait découvrir qu’il vit ses choix. Oh! il passera par la colère, le découragement, le désespoir; il accusera Dieu, mais à un moment, un seul moment, une fraction de seconde, il dira : "Dieu", et tout s’accomplira. Dieu lui donnera la force de continuer. Ça, c’est notre Dieu et cela va nous donner de la joie de l’avoir consolé notre cœur, ça va nous bercer, ça va nous faire atteindre le bonheur, car nous saurons qu’il est sauvé.
Nous sommes venus sur la terre pour aller vers Dieu le Père, alors réjouissons-nous de savoir que notre Père prend soin de notre mari, de nos enfants pour les amener à lui. Quand on est convaincu de cela, ça nous aide à avancer. C’est vrai que par moment le cœur nous serre tellement fort, on sent que nos yeux se remplissent de larmes, nos membres deviennent tout alourdis, alors le seul moyen, c’est : "Je te donne, je te donne cela, Seigneur, je n’en veux pas, cela t’appartient. Prends ce qui vient me faire souffrir, Satan ne veut pas que j’aide mon enfant. Redonne-moi ma paix. Loué sois-tu de prendre le petit que je suis et de faire ce que tu veux avec ce que je te donne, car il est à toi."
Nous devons vivre notre abandon, mais ce n’est pas seulement pour nous-mêmes, mais c’est pour tous ceux que nous portons en nous et qui sont autour de nous. L’abandon, ça commence par soi-même, mais ça se laisse voir, ça se laisse entendre. Nous devons être un mouvement d’abandon et nous avons le droit de regarder notre mari, notre épouse dans cet abandon, ce n’est pas de la lâcheté, c’est la force de Marie, ce n’est pas l’indifférence, c’est la confiance à Marie pour le Père. Je mets ma confiance là où tout est rempli de grâces.
Nous ne sommes pas lâches de donner à Dieu tout ce qui nous fait souffrir et dire : "Je n’en veux plus". C’est découvrir que nous suivons le chemin qui nous amène à notre libération. Nous allons être libérés de notre volonté humaine, nous ne serons plus jamais prisonniers de la volonté humaine qui écoute Satan, et qu’à cause de cela on n’a pas cessé de faire de mauvais choix. Amen.