Au IVe siècle, Grégoire de Nazianze confessait:« Un même créateur pour l'homme et la femme, pour tous deux la même argile, la même image, la même loi, la même mort et la même résurrection.
Dix-sept siècles plus tard, il est grand temps de désacraliser la supériorité du mâle, de dépasser les catégories du masculin et du féminin pour Dieu, d'oser la réciprocité dans la différence.
Sans les femmes, l'Église n'y parviendra pas.
(de P. Sylvain Gasser, assomptionniste. Article paru dans le supplément "Religion et Spiritualité" de la Croix du 4 mai 2013)
C'est tiré au coin du bons sens.