Je poste cette conférence en remerciement au Seigneur qui m'a introduit dans cette théologie de la miséricorde divine-en effet, après une seule et unique manifestation de grâce au pied d'un crucifix, j'ai commencé de chercher quelconque service au sein de l'église catholique. La Joie de la conversion me poussait à cette démarche. Mais j'avais déjà 29, et il était hors de question d'intégrer le séminaire "à l'âge que j'avais mentionné". J'ai réagi en déclarant que : "Pourtant, Jésus n'a-t-il pas commence sa mission à l'age de trente ans ?"
Je n'aurais pas dû parler ainsi, car le président du séminaire m'a renvoyé me recommandant-de cultiver car l'humilité. ... Comme j'avais été élève dans un collège franciscain, je me suis présenté au "Père directeur" pour lui demande de soutenir ma démarche... mais il m'a dit : "Il vous faut d'abord un diplôme de l'enseignement" d'enseignement supérieur. J'entrai donc à l'université catholique où j'obtins la grand distinction en philosophie morale. Avec le même succès, j'avais également obtenu des distinctions en langues anglaise et espagnole. Mais avec tous ces bagages, je n'en fut pas plus que "plus vieux".
Vint encore le "service militaire obligatoire. J'obtins encore un grade dans la gestion des documents classés "sensible", sous la houlette d'un Lieutenant Colonne d'Etat-Major. Et c'est au bout de cette démarche que je résolus - sans plus m'adresser à l'Eglise - de suivre la théologie de la miséricorde divine. Les sœurs de Cracovie envoyaient des feuillets comprenant aussi bien une théologie de la Miséricorde, qu'il fallait associer associer avec un combat personnel contre toutes les formes d'addiction possible. Cela me fit le plus grand bien, puisque j'abandonnai de me chercher, au sein de l'Eglise, un quelconque réconfort. J'étais désormais libre de de me marier, mais je me fis moquer par les quelques femmes que femmes que j'ait fait bien rire avec mes petits secrets du passé...
La consolation vint avec le métier de bouquiniste qui finalement m'apporta un grand bonheur. Je me sens conforté dans par la méditation de chaque jour - en me fondant sur l'homélie entendue le matin et que j'aime "remémorer" comme une "nourriture de la Joie.
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