interprétation d'un texte biblique

Re-Bonjour,
J’ai déjà sollicité votre aide afin de trouver un texte biblique et j'en ai été très convainc (je vous en re-remercie beaucoup.)
J’aimerais en fait que vous me Ré-aidiez, j'aimerais bien interpréter le texte " Le plus grand dans le royaume des cieux " pour qu'il ait un rapport avec les enfants soldats au Rwanda. Avec mon ami qui présente avec moi cette injustice, nous avons essayé, mais n'avons réussi que de trouver peu de choses intéressantes.
Si cela ne vous dérange pas trop, pourriez vous m'aider afin que je puisse interpréter ce texte de la meilleure manière qui soit.
:thumleft:
je vous remerci d'avance.

Bonjour emerge,

Tout dépend de l'angle que vous voulez donner à votre travail... je vous donne une piste :

Le Seigneur Jésus dit que le plus grand dans le Royaume des cieux est celui qui est le plus petit sur la terre. Par exemple, l'enfant, le pauvre qui a faim, le malade, la veuve et l'orphelin, etc. Toux ceux en fait qui sont mis de côté (et ceux qui par compassion et amour se "mettent à table" avec eux). L'enfant, à l'époque de Jésus, était considéré comme un moins que rien. Jésus renverse cette mentalité en mettant l'enfant au centre de ses disciples pour leur enseigner que ce n'est pas les grands de ce monde, les sages et les intelligents selon la sagesse de ce monde - qui est folie pour Dieu- qui hériteront les premiers du Royaume des cieux mais les humbles... c'est donc la confiance, l'humilité du "petit" qui a la capacité d'accueillir le Royaume des cieux car Dieu est parfaitement simple, infiniment humble et totalement Amour. On ne peut s'approcher de Dieu avec un coeur rempli d'orgueil ni soutenir son regard si nous sommes satisfaits de nous-mêmes et que nous nous auto-suffisons.

Les enfants soldats du Rwanda sont des enfants que l'on scandalise et c'est un grave péché de l'homme que de leur voler leur innocence... ils auront à répondre devant Dieu ceux qui en font des machines de guerre et de la chair à canon...

Si vous avez d'autres questions, n'hésitez pas.

Fraternellement,
Hélène