Père Émilien Tardif

une Guérison pour le moins surprenante.

Citation :

Je vous conte un autre témoignage pour ceux qui ont encore besoin de témoignages et ensuite nous allons prier ensemble pour les malades. il y a parfois des guérisons qui sont très étonnantes. L’an dernier, je prêchais au Mexique. On avait une foule de 8000 personnes qui suivaient la retraite. Il y avait beaucoup de foi, beaucoup de foi aussi dans l’assemblée. Pendant le ministère de guérison, le Seigneur me donnait une parole dans mon coeur qui était celle-ci: «Il y a quelqu’un ici qui est sourd de l’oreille gauche, qui était sourd de l’oreille gauche et le Seigneur vient de te guérir, et ça faisait 15 ans que lu étais sourd. Rends-toi compte que tu entends de ton oreille gauche et j’aimerais que tu t’identifies dans la foule, que tu rendes gloire à Dieu, car tu es conscient de ta guérison.» Et à ce moment-là, une dame s’est levée debout. Elle était remplie de joie. Elle est venue tout de suite en avant et elle nous a raconté au microphone qu’elle était sourde depuis 15 ans parce qu’elle avait été opérée dans l’oreille gauche. Elle avait une infection très profonde et elle nous a dit: «Le médecin m’a enlevé le tympan et l’osselet, l’oreille intérieure, et il m’a dit que jamais plus je ne pourrais entendre de cette oreille.» Et elle a dit: «Tout à l’heure durant la prière, j’ai entendu un bruit très fort et j’ai commencé à entendre de cette oreille. Comme elle venait de nous dire que son oreille gauche était vidée, moi j’ai douté un petit peu. Je me suis dit: «Peut-être qu’elle entend de l’oreille droite et qu’elle croit que c’est l’oreille gauche.» J’étais vraiment mal à l’aise quand elle m’a dit que le médecin lui avait enlevé le tympan, l’osselet, l’oreille intérieure. J’ai dit: « Si vous voulez, quand vous arriverez chez vous à Irapuato, vous irez voir votre médecin pour passer un examen pour savoir exactement qu’est-ce qu’il en est.» Et elle est allée voir son médecin et elle lui a dit: «Le Seigneur a guéri mon oreille gauche.» Il lui a dit: «C’est impossible ton oreille est vide.» Elle a dit: «J’entends.» Et le médecin est allé chercher ses instruments et il lui a passé un examen. À sa grande surprise, avec ses instruments il a découvert que Cédia Covaro entendait à 95 % avec son oreille vide et qu’avec son oreille qui est bien, elle entendait à 90%. Alors, je lui ai demandé: «Qu’est-ce qu’il a dit ton médecin?» C’est un médecin très chrétien. Elle a dit: «Il n’a rien dit, il a commencé à pleurer.»

Vraiment, le Seigneur nous rappelle aujourd’hui ce que l’ange a dit à Marie pour Dieu: « Il n’y a pas de choses impossibles, ça n’existe pas des choses impossibles.» On ne comprend pas. Plusieurs médecins sont allés passer l’examen chez Cédia Covaro, à Irapuato, et personne encore ne peut expliquer comment se fait-il qu’elle entende de l’oreille gauche avec une capacité d’audition à 95 %. On ne comprend pas, on n’a pas d’explication, mais ce qu’on sait c’est qu’elle entend. Et je crois que le Seigneur dans un monde ou la foi est en train de baisser, ou le matérialisme envahit nos peuples, le Seigneur vient nous secouer et nous rappeler qu’il est le maître de l’impossible. Il nous redit: «Je te dis que si tu crois, tu verras la gloire de Dieu.»

sevichel

Paix et Joie!

En lisant le post de sevichel sur Émilien Tardif, un bel épisode de ma vie m’est revenu à l’esprit. Je vous le partage bien humblement… pour la gloire de Dieu.


C’était en 1982, j’avais alors vingt-trois ans. J’assistais, en compagnie de ma mère, à la dernière journée d’un congrès charismatique de trois jours. L’événement se tenait dans un complexe sportif et mille personnes environ y étaient présentes. Nous étions là depuis trois heures à écouter des témoignages et des enseignements, à prier et à chanter quand vint le temps de célébrer la messe. Pendant la célébration, un prêtre est arrivé de l’arrière de la salle en portant le Saint-Sacrement à bout de bras. Même si j’avais beaucoup de peine à marcher à cause d’un sérieux problème avec mon genou droit, j’étais agenouillé directement sur un plancher de béton lorsque ce prêtre, portant Jésus, est passé près de moi. Une dizaine de minutes plus tard, l’adoration proprement dite commençait.

Le père Émilien Tardif –invité spécialement pour l’occasion– priant tantôt en français, tantôt «en langues», commença alors à exercer ses dons de connaissances et de guérisons : «Il y a un homme dans cette salle… , il y a quelqu’un ici qui prie pour son enfant et cet enfant, Jésus est en train de le libéré… , etc, etc. ». Entre chaque annonce, il rendait gloire à Dieu et invitait les gens à faire de même. C’était beau, vraiment beau… comme au temps de Jésus… ou presque.

À un certain moment il a dit : «Il y a ici une grand-maman qui a beaucoup de problèmes avec ses yeux et elle en est presque aveugle. Et bien cette grand-maman vient d’être guérie et je demande à cette grand-maman de bien vouloir enlever ses lunettes et de se manifester pour la plus grande gloire de Dieu.» Soudain, à ma gauche, quelqu’un a crié : «C’est ma mère!». Et j’ai vu la grand-maman se lever debout et saluer le prêtre de sa main droite. Devant de telles manifestations, vous comprendrez qu’il est difficile de ne pas pleurer, de ne pas remercier Dieu pour tant de bontés envers ses pauvres brebis égarées. J’étais toujours à genoux et je pleurais abondamment, tout en demandant pardon pour mes trop nombreuses fautes.

Puis le prêtre annonça bien simplement : «Jésus guérit le genou d’un sportif». Sur le coup, n’ayant pas demandé la guérison de mon genou, je n’ai pas vraiment pensé que le message était pour moi mais quelques secondes plus tard, j’ai «osé» penser que j’étais le sportif concerné. Et plus j’y pensais, plus mon cœur battait fort.

Les gens ont chanté :
«Christ est venu
Christ est né
Christ a souffert
Christ est mort
Christ est ressuscité
Christ est vivant
Christ reviendra
Christ est là
Christ reviendra
Christ est là.»

À la toute fin de la célébration, le prêtre a invité les personnes qui avaient été guéries à se présenter sur la scène en guise de remerciement et aussi, en guise de témoignage. Une quinzaine de personnes se sont alors humblement avancées et… j’étais du nombre. Je marchais «normalement» sans ressentir aucune douleur à mon genou droit.

Chers amis de Dieu, aujourd’hui en vous partageant cela, j’ai eu la grâce de revivre en partie cet événement, ce petit clin d’oeil de Jésus envers moi. Ma vie n’a pas été transformée dramatiquement ce jour là mais quelque part dans mon coeur, Dieu venait d’y semer quelque chose de Beau… quelque chose du Ciel.

Ad Majorem Dei Gloriam!

François C.

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