Éducation sexuelle de nos enfants

Il aurait fallu que ce prêtre ait été parler aux jeunes plutôt que ces deux lobbyistes en besoin de reconnaissance...

C'est long mais ça vaut la peine de le lire en entier.

Hélène

Bonjour Hélène,

Merci pour le lien!

C'est long comme tu dis, mais tellement bien qu'on ne regrette pas les 20 minutes qu'on y passe...

A diffuser largement!

Bonjour Hélène,
ce lien est vraiment très interessant pour les jeunes mais aussi pour les adultes. Je pense m'en servir, comme les autres références que vous m'avez conseillées, lors de la "contre-proposition" sur l'éducation sexuelle avec mes élèves. Bon il faudra que je retire les références catho : à l'école de la république on peut citer Lao Tseu ou le Mahabharata mais pas Jean-Paul II ou la Bible...

Fraternellement,
Aurélie

Désolée,
j'ai oublié une petite chose. Hélène quelques messages plus haut indiquait le fait qu'il y avait une majorité politique mais pas de majorité sexuelle au Canada. En France ce n'est pas le cas : la majorité sexuelle est fixée à 15 ans ce qui signifie que tout rapport avec un enfant de moins de 15 ans même consenti est considéré comme un viol. Il est donc très choquant même sans référence à la morale, que l'on vienne expliquer à des enfants âges de moins (et parfois de bien moins) de 15 ans comment gérer leur vie sexuelle alors qu'elle est LEGALEMENT interdite pour de bonnes raisons à mon sens.

Aurélie

Au Canada, l'âge du consentement sexuel est 14 ans mais le gouvernement conservateur au pouvoir (limité car minoritaire) veut faire passer une loi pour le monter à 16 ans (évidement il y a une levée de boucliers... la gogauche déchire son vêtement pour crier à l'oppression des dégénérés conservateurs ). Par ailleurs, la loi s'applique non pas à l'âge pour pouvoir avoir des relations sexuelles (deux jeunes de 13 ans peuvent avoir des relations "librement") mais à un écart de 5 ans entre le jeune mineur et l'autre partie (pour "contrer" la pédophilie). Donc un jeune de 17 ans peut très bien avoir une relation consentante avec une jeune fille de 13 ans. Mais un homme de 19 ans ne peut avoir de relations avec un jeune fille de 13 ans. Ce n'est pas l'âge fixé qui régie la sexualité mais elle fixe les bornes pour éviter les relations entre un adulte et un enfant (mais pas entre deux enfants ! :shaking: ).

Je ne sais pas si je suis très claire... :heum?

Mais bref, vous avez raison : si l'âge est de 14 ans, on ne voit pas bien pourquoi on leur sert tout à l'âge de 11-12 ans sans retenu !

Je crois qu'il y a des limites à ne pas dépasser. Voici ce que j'ai trouvé, sur Internet ce matin, concernant une punition faites à 2 enfants de 9 ans car ils avaient utilisés un language vulgaire ;

Des écoliers de quatrième année ont été forcés par leur directrice à faire un travail sur la fellation, comme punition, pour avoir insulté un camarade de classe.
La directrice de l'école primaire de l'Odyssée, à Sainte-Catherine sur la Rive- Sud, a exigé cette «réflexion» pour réprimander les quatre jeunes du primaire qui avaient ridiculisé un autre élève, affirmant qu'il s'adonnait à ce genre d'acte sexuel.

En dix lignes, les garçons ont eu à définir, selon eux, ce qu'est de faire une fellation et où ils ont appris à faire allusion à cette pratique sexuelle.

Prenant connaissance du travail exigé de leur enfant, les parents d'un des garçons, renversés qu'on pose de telles questions à un jeune de neuf ans, ont refusé que leur enfant remette la réflexion.

L'école change son fusil d'épaule

La directrice de l'école, Andrée Lessard, n'a pas répondu aux questions du Journal, préférant transférer l'épineux dossier à la Commission scolaire des Grandes-Seigneuries (CSGS).

Invitée à se prononcer sur la technique peu orthodoxe de la directrice pour régler le problème, la CSGS a elle aussi refusé de se mouiller.

«Je ne suis pas en mesure de me positionner sur le travail demandé aux élèves», a indiqué la porte-parole de l'organisme, Annie Deschamps.

En milieu d'après-midi hier, la direction de l'école a finalement fait marche arrière, changeant la nature du travail qui avait été demandé au garçon qui ne l'avait pas remis.

«Il y a eu une entente avec les parents sur la réflexion qui avait été demandée. Elle va porter sur le langage approprié dans l'école», a expliqué Mme Deschamps de la CSGS.

Méthode aberrante

Selon le beau-père d'un des enfants réprimandés, l'école aurait pu punir les écoliers en demandant de faire un travail sur le langage vulgaire par exemple.

«Je trouve ça aberrant de demander à un enfant ce qu'est la fellation. À mon avis, c'est trop tôt pour demander ce genre de choses», dit-il.

En entrevue au Journal, le jeune garçon a dit s'être senti «gêné» de rédiger un tel travail.

Combattre l'intimidation

Réprimander un enfant qui utilise des expressions non appropriées pour insulter ses camarades n'est pas toujours évident. Voici les trucs du psychologue scolaire Richard Gagné.

En insultant un camarade de classe,un jeune démolit sa réputation sur la place publique. Comme réparation,on peut exiger du jeune fautif des excuses publiques.

Expliquer aux enfants qu'une agression verbale est aussi grave qu'une agression physique.

Amener les enfants victimes d'injures et les témoins à dénoncer les jeunes qui insultent les autres.

On peut montrer aux jeunes que des insultes qui semblent à première vue banales ont un effet dévastateur sur celui qui les reçoit.

C'est exactement à ce genre de débilités que les parents d'aujourd'hui sont confrontés. S'ils acceptent ce genre de chose, qu'est-ce qui viendra après ? Une autre enseignante a visionné "Brokeback mountain" à ses élèves de 6e année ! Non mais ! Laissons-les être des enfants ! C'est une obsession...

les médias en ont parlé aussi,et je trouve ça vraiment nul.....franchement....c'est désolant.

et l'instit,elle a appris la pédagogie dans un sex shop?? elle aurait du faire réfléchir les enfants sur le respect entre camarade,la politesse,et les rapports qu'on doit avoir entre écoliers.

franchement les profs d'aujourd'hui sont non seulement souvent incompétents mais aussi dangereux!

d'où l'importance des parents,des grand-parents...quand ils sont là.

Mes entrailles sont bouleversés pour notre jeunesse...

Je suis allée hier soir à cette conférence de Mme Julie Pelletier (et non Payette), sexologue, qui veut implanter son nouveau programme d'éducation à la sexualité dans les écoles... aussitôt qu'au primaire. Ça décoiffe...

C'est extrêmement désolant...

Je vous en ferai un compte-rendu plus tard...

Elle a eu le malheur de laisser son adresse de courriel sur la documentation : j'ai deux mots à lui dire...

Je ne crois pas que je changerai les mentalités déjà bien implantées (et qui font des ravages) mais je vais tout de même lui donner mon avis.

Les seules paroles qui me venaient à l'esprit à la sortie de cette conférence sont : sauve qui peut !

Union de prière...
Hélène

Où va-t-on? Dans le MUR et pire encore!

Mais pourquoi puisqu'on le sait, on accélère au lieu d'essayer de freiner???!!!

il faut dire que la culture populaire contribue pour beaucoup à l'hyper-sexualisation des jeunes

Bonne nouvelle tout le monde !

J'arrive de la réunion du conseil d'établissement de l'école des enfants et j'ai été agréablement surprise de voir la réaction générale du conseil (parents et direction d'école) à la suite de ma "sortie" concernant ce nouveau programme d'éducation à la sexualité. Je me suis vue être très hardiement convainquante pour affirmer que je ne suis pas d'accord avec ce programme et que notre société est malade. Un à un, ils se sont raliés avec moi pour dire que ce type d'enseignement est trop précoce et que finalement, ce programme est bon pour la filière 13 (càd pour la poubelle... ou plutôt le bac à recyclage). Nous sommes d'avis qu'il n'est pas nécessaire de former nos jeunes à ce discours orienté et que les parents ont le droit... d'être parents ! Spécialement en ce qui concerne ces questions intimes de la vie, qui n'ont rien à voir avec l'éducation académique des enfants. Ce n'est même pas une question de conviction religieuse finalement, ce n'est que le bon sens commun de tout parent qui tente tant bien que mal d'éduquer son enfant. Tout parent qui désire le bien pour son enfant peut en conscience discerner que ces "cours" sont dérangeants pour des enfants qui n'ont pas la maturité psychologique et physique pour gérer ces informations "adultes". Le problème est qu'il ne savent pas l'exprimer.

Finalement, je me rends compte qu'il suffit que nous osions nous tenir debout pour réveiller les consciences. Les parents savent bien (en général) que cela n'est pas juste... seulement, on leur bassine les oreilles comme quoi c'est normal, c'est comme ça, tout est plus vite de nos jours... et puis ils sont dépassés et poussés par la vague et se laissent embarquer par ce soi-disant progrès. Ils ont peur de paraître ringards. Je leur ai dit que je suis prête à paraître ringarde pour l'amour de mes enfants.

Ouf ! Merci Seigneur... je suis très heureuse de cette petite victoire du bon sens. Notre école l'a échappé belle cette fois-ci...mais combien d'autres écoles à l'échelle nationale appliqueront le programme de Mme Pelletier ?

Union de prière,
Hélène

Bravo. Félicitations. Il s'agit de se tenir debout.

Super Hélène :thumleft:

Je vous félicite pour vous être tenu debout dans cette contreverse mais je suis certaine que vous étiez accompagnée de St-Joseph et que l'Esprit-Saint a souflé les paroles à vos oreilles pour que vous puissiez défendre votre point de vue pour l'amour de vos enfants et de tous les enfants fréquentant cette école. J'espère que votre intervention servira d'exemple pour toutes nos écoles primaires au Québec.

Que Dieu vous bénisse et continuez votre combat contre le et je souhaite que d'autres parents se rallient à vous pour enrayer ces "dérangés du sexe " et que nos enfants puissent vivre leur vie d'enfant.

Fraternellement en JC

Alice

Merci Alice et merci à tous pour votre soutien et vos prières...
Il est bon de savoir que, même si nous nageons à contre-courant, nous ne sommes pas seuls.

Le Seigneur est bon ! Vive notre Dieu !

Hélène

,

Il faut effectivement continuer le combat. J'ai réalisé hier avec mes élèves un cours d'éducation sexuelle avec une vision morale des choses. Ce cours s'est bien voire très bien passé (merci de vos prières à ce sujet). Les enfants se sont pour la plupart sentis soulagés : non on n'est pas anormal si on a pas de vie sexuelle à 14 ans, oui on a le droit d'être gené quand on aborde des détails, vouloir attendre, avoir une vision morale de la sexualité ce n'est pas être complètement coincé. En fait les enfants n'ont même pas posé de questions scabreuses (dans les cours d'éducation sexuelle classiques on leur donne la réponse sans qu'ils aient posé la question...) mais on a abordé un sujet essentiel : la pression sexuelle que fait peser notre société sur les filles comme sur les garçons.
Bref, la jeunesse n'est pas perverse mais la société tente de la pervertir, à nous de garder le cap avec l'aide du Seigneur.

Fraternellement,
Aurélie

Citation :

Vaccin contre le VPH

L'abstinence au lieu de la vaccination
Vaccination dès la rentrée scolaire
Nouvelle du 7 août 2007

À Terre-Neuve-et-Labrador, les réactions sont multiples à la suite de l'annonce d'un programme gouvernemental de vaccination des jeunes filles contre le virus de papillome humain (VPH).

Certains groupes religieux estiment que l'abstinence demeure le meilleur moyen de contrer les infections transmissibles sexuellement, notamment le VPH qui est responsable de nombreux cas de cancer du col de l'utérus.

Selon l'Association pour le droit à la vie, un groupe d'allégeance catholique, la campagne de vaccination envoie un mauvais message aux jeunes.

« C'est un feu vert à une sexualité débridée qui encouragera la promiscuité et ne fera qu'augmenter le nombre de maladies transmises sexuellement », lance Patrick Hanlon, président de l'association basée à St.John.

De tels propos mettent en colère Brenda Kitchen, du groupe Planned Parenthood, une organisation qui prône l'éducation sexuelle auprès des adolescents.

« Prêcher l'abstinence ne donne aucun résultat probant », explique Mme Kitchen qui cite l'exemple du Texas, où, dit-elle, on compte le plus grand nombre de filles-mères, malgré des campagnes répétées en faveur de l'abstinence.

À la rentrée scolaire en septembre, un peu plus de 2800 écolières de 6e année à Terre-Neuve-et-Labrador seront vaccinées contre le virus de papillome humain. Des campagnes de vaccination auront aussi lieu en Ontario, en Colombie-Britannique et en Nouvelle-Écosse.

Le vaccin, qui se nomme Gardasil, coûte 400$ l'unité et est commercialisé par la compagnie pharmaceutique Merck Frosst. Le vaccin, approuvé en 2006 par Santé Canada, préviendrait jusqu'à 70 % des cas de cancer du col de l'utérus.

Source : Radio Canada.ca


C'est de la dictature de la police des idées ! Si ce vaccin arrive au Québec, je réclame le droit de ne pas faire vacciner ma fille ! Évidemment, les cathos font passer pour les débiles réactionnaires...

Hélène

Je ne veux rien savoir de ce vaccin-là.

Ça envoie un mauvais message aux jeunes.

"Le vaccin, approuvé en 2006 par Santé Canada, préviendrait jusqu'à 70 % des cas de cancer du col de l'utérus".

Si on oublie le côté sexuel de la chose et que l'on se concentre uniquement sur la prévention du cancer du col de l'utérus qui, par ce vaccin, pourrait éventuellement être enrayé jusqu'à 70% ce qui est loin d'être négligeable ; considérant que le cancer du col ainsi que de l'utérus touche toutes les classes de la société et ce même chez des adolescentes encore vierges, ne vaudrait-il pas la peine d'être administré ?

Pour une fois qu'une compagnie pharmaceutique trouve, ENFIN, un vaccin pouvant éviter le cancer, l'une des premières causes de mortalité au pays, j'ai une cousine qui est décédée du cancer de l'utérus et ce à l'âge de 28 ans seulement dans des souffrances atroces, ne devrions nous pas en profiter ? Pour de ce qui est de l'éducation de l'enfant tant qu'à la raison évoquée pour l'administration du vaccin, il me semble que cela revient aux parents, d'expliquer aux enfants la raison qui les ont motivés ; c'est-à-dire pour leur protection vis-à-vis le cancer, ce cancer entre autre si répandu, ce fléau mortel

Personnellement, ce qui me choque le plus dans cette histoire de vaccin, c'est qu'apparemment, il est systématique : subitement, il faut vacciner toutes les filles de 6ème année. Si ça n'est pas une vaste campagne de marketing des firmes pharmaceutiques, ça y ressemble (idem pour le vaccin contre la grippe).

Il faudrait au moins demander l'avis des personnes concernées (informées par leurs parents aussi) : le conscentement libre et éclairé d'un "patient" est obligatoire depuis Nuremberg, je pense. L'école ne peut les obliger. Tout au plus doit-elle expliquer ce qu'est ce vaccin et ce que cela prévient. Son rôle s'arrête là.


PS : 6ème année, ça représente quel âge chez vous ?

Nova, vous m'enlevez les mots du clavier ! C'est tout à fait ce que j'allais dire (mais en plus long vu que je n'ai pas un esprit de synthèse ! )

Nova a écrit:

PS : 6ème année, ça représente quel âge chez vous ?

11 ans... au plus, 12.

Je reviendrai tout à l'heure car j'ai fait quelques recherches très intéressantes au sujet du cancer du col de l'utérus... ça s'apparente en effet à une vaste campagne de pub pour Merck Frosst :boulet: .

Tout cela, bien sûr au nom de notre salut sanitaire...

Hélène

Citation :

Le cancer du col de l'utérus concerne toutes les femmes. Pourtant, certains facteurs favorisent l'apparition de la maladie :
• la précocité des premiers rapports sexuels (avant 17 ans)
• la multiplicité des partenaires
• les facteurs infectieux (dans plus de 90 % des cancers du col, on retrouve certains types d'Human Papilloma Virus)
• le tabagisme : les fumeuses ont un risque 2,4 fois plus important, indépendamment de leur comportement sexuel
• le déficit immunitaire (traitement immunosuppresseur antirejet, infection par le VIH)

Citation :

En France, environ 3500 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année, et près de 1500 femmes en décèdent. Le cancer du col occupe le 6ème rang des cancers féminins. Son incidence augmente avec l'âge, et atteint son maximum vers l'âge de 60 ans.

(Remarquons qu’il est écrit : 1500 femmes en décèdent...et non petites filles de 12 ans !!)

Source : http://www.eve.asso.fr/pub/cancer.php

Maintenant, en quoi est-ce qu’une grosse campagne de vaccination (apparemment de prévention) est-elle pertinente chez les petites filles de 11-12 ans si la plupart des cas apparaissent entre l’âge de 50 et 60 ans (sauf quelques exceptions rares) ?!?!

J’en reviens toujours à dénoncer l’hypocrisie étatique derrière tout cela : on doit avoir 18 ans pour pouvoir acheter un billet de loterie; on doit avoir 18 ans pour acheter de l’alcool, on doit avoir 18 ans pour pouvoir acheter un paquet de cigarette, on doit avoir 16 ans pour conduire une voiture mais… acheter des contraceptifs, n’importe quel âge ! Coucher à droite et à gauche dès qu’on a un poil sur le pubis pour attraper des maladies qui peuvent nous tuer, ça pas de problème ! Allez-y les jeunes ! D’ailleurs on vous encourage ! Faites comme vous voulez mais ne nous embêtez pas ! Tant que vous vous protégez ! Et puis s’il y a une grossesse au bout de tout cela, qu’importe ! On enlèvera (et l'état payera) le petit amas cellules gênant en un petit rendez-vous à la clinique !

Au nom de quoi ? De la sacro-sainte libération sexuelle !



Hélène

Hélène a écrit:

11 ans... au plus, 12.

Comme chez nous. Je posais la question parce qu'en France, ils comptent autrement.

Vaccinées contre le VPH à 11 ans
Ca me paraît plus qu'exagéré...

Hélène a écrit:

ça s'apparente en effet à une vaste campagne de pub pour Merck Frosst :boulet: .

Ca paraît clair... C'est ici un problème de gros sous, plus qu'un problème de santé publique.

En plus, ce vaccin est un nouveau médicament... Cela signifie qu'on ignore ses effets à long terme. Aussi obliger son administration me paraît on-ne-peut-plus éthiquement incorrect.

Pour rappel, le Code de Nuremberg est le code de déontologie internationale qui entoure l'expérimentation sur l'homme et qui a été rédigé en 1947, suite aux horreurs nazies. Il commence comme suit :

Citation :

Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir : qu'elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d'autres formes de contraintes ou de coercition. Il faut aussi qu'elle soit suffisamment renseignée, et connaisse toute la portée de l'expérience pratiquée sur elle, afin d'être capable de mesurer l'effet de sa décision.

Nova a écrit:

Pour rappel, le Code de Nuremberg est le code de déontologie internationale qui entoure l'expérimentation sur l'homme et qui a été rédigé en 1947, suite aux horreurs nazies. Il commence comme suit :

Citation :

Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir : qu'elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d'autres formes de contraintes ou de coercition. Il faut aussi qu'elle soit suffisamment renseignée, et connaisse toute la portée de l'expérience pratiquée sur elle, afin d'être capable de mesurer l'effet de sa décision.

Merci ! Je m'en servirai si cette campagne pour faire de nos filles des "guinea pigs" arrive au Québec. Vous dites que ce code est international, càd que le Canada y a adhéré ?

Cordialement,
Hélène