Il existe une solution : émigrer. Cela fait quelques années - depuis 2003, que je songe à partir vers le Québec, où j'ai de la famille (une cousine) et quelques amis. Mais aussi longtemps que ma mère vit, je reste. Si j'en ai la possibilité, je rejoindrai un "Foyer de Charité" - quitte à le fonder avec d'autres. Mais je me concentre sur la pensée d'être prêt à tout et, à tout moment, de répondre de ma foi. Car tout va très, très vite à présent. Rêver d'une retraite tranquille, de nos jours, c'est faire comme l'homme qui voulait abattre ses greniers pour engranger une abondante récolte et profiter de la vie: "Insensé, lui dit Jésus, cette nuit-même ta vie te sera redemandée". Sa vie, mieux vaut la donner que la perdre !