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« J'ai retrouvé ma brebis perdue... celle qui était “perdue” dans sa désobéissance, je l'ai libérée. » sunny

Les guérisons des démoniaques sont, dans les Évangiles, le prélude de la Résurrection des morts : Jésus est venu pour que nous ayons la vie, et la vie en abondance... Il manifeste sa Seigneurie, sa toute-puissance, en libérant son enfant... c'est pourquoi j'ai cité cette parole de la brebis perdue.

Le possédé est un prisonnier. Nous aussi, n'avons-nous pas, parfois, des petites prisons dans lesquelles nous sommes un peu comme possédés... par une soif excessive de pouvoir, une faim démesurée de nourriture, un attrait trop fort pour le jeu, une rage meurtrière comme Saul, la passion d'être reconnu et apprécié, etc. La bonne nouvelle, c'est que Jésus est venu pour nous rendre libres.

À l'Eucharistie, après le Notre Père, au moment de la prière de libération, j'aime bien accueillir la vie nouvelle qu'Il nous a méritée, et la liberté, fruit pascal. Jésus nous veut libres, et si nous le désirons aussi, alors donnons-Lui toutes permissions pour agir en Sauveur et Libérateur.

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Invité

BONJOUR À VOUS TOUS.

C’est le jour de la CONVERSION DE SAINT PAUL. Cela nous rappelle jusqu’à quel point Dieu tient à nous et nous veut à Lui.

L'homme fort est tombé.

Quelle grâce quand l'homme fort en nous rencontre la Lumière de Dieu, rencontre plus fort que soi ! Rien n'est plus merveilleux !

Nous sommes tous un peu des rebelles avec plus ou moins de cœur. Qui aura le courage d'affronter ce « belligérant » qui nous empêche d'aimer à la manière de Jésus ?
La réponse : Jésus lui-même.

C'est Lui qui est venu au milieu de nous pour mener le combat de la liberté. On le verra sous peu mener ce combat au désert contre Satan. C'est Lui qui sera le vainqueur en nous conférant le fruit de sa Pâque, à savoir notre Sainteté.

Es-tu prêt à tomber en bas de ton cheval... une autre fois ? Désires-tu cette conversion qui te permettra d'aimer à la manière de Jésus ?

Alors, à genoux, demande ce don de la conversion. Serait-ce l'heure de prendre le Vrai Chemin de la Sainteté voulu par Dieu ?

Ne protège rien... ne cache rien... ne mets aucun interdit... fais confiance à Dieu. TU DEVIENDRAS LIBRE POUR AIMER.

Ps Suzanne
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Invité

Qui sont ces deux hommes ?
Ce sont les deux saints du jour : Timothée et Tite, compagnons de saint Paul.

J'ai lu une introduction à cette fête que j'ai trouvé si intéressante que j'ai pensé vous la partager : on y voit toute l'humanité de la première Église.

Saint Paul était une personnalité assez puissante et suffisamment séduisante pour s'attacher des hommes aussi différents que Luc, Timothée et Tite, et en faire ses collaborateurs. Timothée fut l'inséparable compagnon des travaux et des souffrances de l'Apôtre, le confident de toutes les heures, celui qui reçut dans la spontanéité de la conversation les grandes intuitions de l'Épître aux Romains, et qui offrit à Paul la chaleur d'une présence humaine quand il descendait du « troisième » ciel. (2Co 12,2)
Éloigné de son maître à l'heure où celui-ci allait rendre le suprême témoignage, il en reçut cette seconde lettre à Timothée, qui est le testament spirituel de saint Paul. Timothée devait gouverner ensuite l'Église d'Éphèse.

Si Timothée fut le confident, Tite était le négociateur, celui que Paul envoyait pour dissiper les malentendus et apaiser les discordes, celui aussi sur qui l'Apôtre pouvait compter pour organiser une nouvelle Église. C'est à ce titre que Tite devint l'apôtre de la Crète. Il reçut de Paul une lettre dans laquelle celui-ci invite les chrétiens à vivre « avec justice et piété dans le monde, dans l'attente de la manifestation du Christ ».

Ps Suzanne
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Invité

As-tu vu Dieu dans ta vie, aujourd'hui ?
L'as-tu vu au travail, dans le métro, dans ta chambre, à l'hôpital ?

Dans la première lecture de ce jour, Dieu dit qu'Il préfère demeurer « sous la tente dans l'arche d'Alliance » au milieu des siens que dans une « maison de cèdre »...

Cela me fait penser à cette autre phrase de Jésus en Matthieu : « C'est la Miséricorde que je désire, et non les sacrifices. » Mt 19, 13

Dieu est simple, pauvre, et veut demeurer près de l'homme. Ce ne sont pas les palais qui l'attirent... pensons à Bethlehem. Ce ne sont pas les fortunes qui le séduisent... pensons à son éloge pour le don de la pauvre veuve. Ce ne sont pas les grands discours des pharisiens qu'il écoute, mais le cri des pauvres et des malades.

Dieu est heureux au milieu de nous. Il est en marche avec son peuple.

Il nous poursuit pour nous faire Miséricorde !

Et toi, reconnais-tu Dieu dans ton quotidien ? Quand tu marches dans la chaleur et que tu vois un arbre à l'ombre duquel tu peux te reposer, ou quand un enfant t'offre un verre d'eau, ou quand tu te sens inutile et que quelqu'un te tend la main disant qu'il a besoin de toi ?

Reconnais-tu Dieu ? Il est tout, tout, tout près de toi, tu peux Le voir même sans lunettes.

Ps Suzanne
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Invité

Le règne de Dieu est comme un homme qui jette en terre la semence : nuit et jour, qu'il dorme ou qu'il se lève, la semence germe et grandit, il ne sait comment... Dieu est à l'œuvre, car on parle du Règne de Dieu.

Je prends une comparaison : si on enseigne la musique classique à un enfant, si on éduque son oreille, si on lui en fait écouter, un jour ou l'autre, il en chantera, il en fredonnera, et on dira : « Mais où as-tu pris cela ? »

Présentement, je suis à dévorer le livre du pape François Le Nom de Dieu est Miséricorde. Plus je le lis, plus je scrute les écritures sur la Miséricorde, plus j'ai envie d'en vivre, et plus j'essaie d'en vivre. Le Règne de Dieu est en moi, et mystérieusement, il travaille.

Que lisons-nous ? Qu'écoutons-nous ? À quels passe-temps consacrons-nous nos temps libres ? De quoi, de qui nourrissons-nous notre âme ? La nourrissons-nous suffisamment ? Voilà quelques questions que le Règne de Dieu peut susciter en nous.
Car ce que nous offrons à Dieu, Il le fait fructifier. Ne voulons-nous pas tous être des saints qui portent des fruits ?

Ps Suzanne
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Invité

Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc 4, 35-41

Ce jour-là, le soir venu, Jésus dit à ses disciples : « Passons sur l’autre rive. »

Quittant la foule, ils emmenèrent Jésus, comme il était, dans la barque, et d’autres barques l’accompagnaient.
Survient une violente tempête. Les vagues se jetaient sur la barque, si bien que déjà elle se remplissait.
Lui dormait sur le coussin à l’arrière. Les disciples le réveillent et lui disent : « Maître, nous sommes perdus; cela ne te fait rien ? »
Réveillé, il menaça le vent et dit à la mer : « Silence, tais-toi ! » Le vent tomba, et il se fit un grand calme.
Jésus leur dit : « Pourquoi êtes-vous si craintifs ? N’avez-vous pas encore la foi ? »
Saisis d’une grande crainte, ils se disaient entre eux : « Qui est-il donc, celui-ci, pour que même le vent et la mer lui obéissent ?

Nous sommes dans une période de la vie de Jésus où Il annonce le Royaume, et pour ce faire, Il accomplit des miracles.

Jésus est humble, Il ne fait pas exhibition de ses pouvoirs. Alors, pourquoi tous ces miracles ?

C'est pour annoncer le Royaume, cette présence de Dieu Père qui aime ses enfants et qui essaie de le leur faire comprendre.

Lors d'une semaine de Communi-O-thérapie qui avait eu lieu dans notre Foyer de Famille à Cap-Chat, nous avions vécu cette Parole. Je vous en présente un résumé.

Le thème de la retraite était À la manière de Marie. Nous avons beaucoup prié, nous avons célébré les sacrements de l'Eucharistie, du Pardon et de l'Onction des malades, nous avons adoré, nous nous sommes prosternés, nous avons écouté des récits des merveilles de Dieu, nous avons vécu le ministère de l'imposition des mains, nous avons vu des guérisons intérieures s'opérer... QUE DE MERVEILLES ! Et nous avons aussi partagé et beaucoup ri.

Jésus nous invitait à « passer sur l'autre rive », la rive de la foi, la rive de la confiance, la rive du don de sa vie, la rive de la suppléance. La rive où l'on donne tout à Marie, où l'on refait l'offrande de sa vie entre ses mains de Maman pour qu'elle nous offre à la Trinité, où l'on apprend à son école et à celle de ses saints comme Jean-Paul II, les enfants de Fatima, Bernadette, où l'on apprend à souffrir en suppléance pour le salut des âmes. Marie nous fut tellement présente !

On peut « passer sur l'autre rive » lors d'une retraite, mais aussi lors d'un temps de prière, un temps de silence. Fermer la radio, la télé, l'ordinateur, et faire silence pour rencontrer Jésus et le laisser nous conduire sur l'autre rive. Ce faisant, Il apaise aussi des tempêtes.

Je viens de te donner un moyen tout simple, essaie et tu verras; demande à Maman Marie de t'aider !

Bonne traversée !

Ps Suzanne
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Invité

BONJOUR ET BON DIMANCHE À CHACUN.

Aujourd’hui, Jésus nous appelle à l’Amour; ne manque pas la deuxième lecture du jour.

L’amour prend patience !

L’amour rend service !

L’amour ne jalouse pas !

Il ne se vante pas, ne se gonfle pas d’orgueil !

Il ne fait rien d’inconvenant !

Il ne cherche pas son intérêt !

Il ne s’emporte pas !

Il n’entretient pas de rancune !

Il ne se réjouit pas de ce qui est injuste,
mais il trouve sa joie dans ce qui est vrai !

Il supporte tout,

il fait confiance en tout,

il espère tout,

il endure tout.

L’amour ne passera jamais ! ! !

Ps Suzanne
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Invité

Rapidement,
qu'est-ce qui vous frappe, qui vous attire chez Don Bosco ?

Tous les enfants pauvres étaient attirés, comme vous, par son SOURIRE.

Le pape avait publié ce message sur Twitter :
« Je ne peux imaginer un chrétien qui ne sache pas sourire. Cherchons à donner un témoignage joyeux de notre foi. »

Si nous demandions aujourd'hui, à Jésus et à Don Bosco, le SOURIRE À DEMEURE SUR NOTRE VISAGE ?
Un sourire vrai et plein d'amour, fait :
- de foi confiante en Dieu, notre Père Providence;
- d'espérance que tout lui est possible;
- de charité pour ceux qui nous entourent.

Don Bosco souriait comme Jésus, alors, sourions !

Invité

Prendre la main de Jésus!

La petite fille de Jaïre tend la main à Jésus pour être relevée de la mort. Jésus vient pour manifester qu'Il entend vaincre la mort par l'Amour; toute mort et tout esclavage sont effectivement abolis en Lui.

Une dame malade d'hémorragies depuis 12 ans arrive derrière Jésus et se dit : « Si je parviens seulement à toucher la frange de son vêtement, je serai sauvée. » Pour elle aussi, Jésus manifeste qu'Il est venu s'attaquer au pouvoir de la mort sur les corps, c'est-à-dire la maladie, et Il va la guérir.

Dans les deux situations, comme on le voit sur les images, la main du pauvre est tendue vers Jésus. C'est l'attitude pour toucher le Cœur de Jésus : avoir les mains vides et une humble confiance. C'est ce qu'on appelle un cœur de pauvre.

Donne-nous, ô mon Père, un cœur de pauvre.
Crée en nous, ô mon Père, un cœur d'enfant.

Prière à faire les uns pour les autres :

« Jésus, vrai médecin de l'humanité souffrante, guéris nos douleurs physiques et spirituelles,
et rends-nous solidaires de tous nos frères souffrants. Amen. »

Ps Suzanne
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Invité

« Mais ce que je suis, je le suis par la grâce de Dieu, et sa grâce, venant en moi, n’a pas été stérile. » 1Co 15, 10

Tout au long des textes de ce dimanche, il est question de la grâce de Dieu. Isaïe, de pécheur, par grâce, est devenu un grand prophète; Saul, qui a été saisi par la grâce qui en a fait saint Paul; Pierre, qui se mettra à genoux devant Jésus et réalisera son indignité devant Dieu. La grâce de Dieu a porté du fruit dans leur vie !

Dans les nôtres aussi, la grâce fait son oeuvre, même si ce n'est peut-être pas de manière aussi ostensible, mais néanmoins toujours aussi efficace. C'est comme dans la photo : il y a des marguerites au premier plan, d'autres sont plus dans l'ombre, mais ce sont toujours de belles fleurs pures.

N'as-tu jamais expérimenté une rencontre avec Jésus pendant une Eucharistie célébrée dans un lieu de pèlerinage, ou reçu une certitude que tu étais pardonné et que ta vie pouvait recommencer grâce à sa Miséricorde ? Te rappelles-tu avoir déjà accompli un acte de charité dont tu te croyais incapable ? TOUT CELA, C'EST LA GRÂCE DE DIEU SUR TOI ET EN TOI.

Aujourd'hui, fais donc de ce jour un jour nouveau, de cette semaine une semaine nouvelle, et implore souvent Dieu de se manifester dans ta vie. Ça Lui fera tellement plaisir, et tu sauras d'expérience que tu es aimé d'un amour qui ne finira jamais.

Ps Suzanne
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Invité

Avez-vous déjà vu des rouleaux de neige comme ceux-ci ?
Ils sont formés par le vent fort sur une pente pendant des jours de neige et de poudrerie.

Combien de mystères nous cache la nature, et quelle joie de les découvrir !

Je vous partage aussi une autre découverte que je fais ces jours-ci et qui remplit mon âme :

JÉSUS ÉCOUTE CHACUNE DE NOS PRIÈRES, ET IL LES EXAUCE À SA MANIÈRE DE DIEU,
ET À L'HEURE DE SON PÈRE.

Je le priais, ces jours-ci, pour une personne malade, à un moment bien précis :
« Jésus, visite-la, s'il te plaît. »

La malade n'est pas tombée en bas de sa chaise, mais elle a eu un moment de réconfort,
de mieux-être !

Parfois, en priant pour un malade, la personne peut juste expérimenter la consolation
de Jésus ou sa compassion. Une autre fois, elle peut expérimenter la paix et un petit mieux-être...
ça varie, mais TOUJOURS, il se passe quelque chose.

Ne nous laissons pas arrêter par notre raison qui pourrait dire : « À quoi bon ?
» Dieu agit toujours pour le bien de la personne, et Il la visite chaque fois que nous le lui demandons.

C'est un mystère !!! Si la nature a ses mystères, Dieu a aussi le sien à travers la souffrance
humaine, mais toujours Il nous écoute quand on demande, et Il répond :
voilà un autre mystère que tu comprends comme moi !

Ps Suzanne
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Invité

Où est Dieu dans ta vie ?

Dans les premières lectures des jours précédents, Dieu dit qu'Il préfère demeurer « sous la tente dans l'arche d'Alliance » au milieu des siens que dans une « maison de cèdre ».

Dieu est heureux au milieu de nous. Nous venons de célébrer Jésus, l'Emmanuel, c'est-à-dire Dieu avec nous. Jésus dira qu'Il n'a pas de lieu où reposer sa tête... il est en marche avec son peuple.

Et toi, reconnais-tu Dieu dans ton quotidien ? Quand tu marches dans la chaleur et que tu vois un arbre à l'ombre duquel tu peux te reposer, ou quand un enfant t'offre un verre d'eau, reconnais-tu Dieu ?
Quand tu te sens inutile et que quelqu'un te tend la main disant qu'il a besoin de toi, reconnais-tu Dieu ?
Quand tu viens de faire une « platitude » et que tu ne trouves pas grand-chose de bon, et qu'en même temps, tu reçois un courriel gentil, reconnais-tu Dieu ?

Reconnais-tu Dieu ?
Il est tout, tout, tout proche de toi, tu peux Le voir parfois même sans lunettes.
Et s'il te faut des lunettes, demande celles de Marie.

Ou plus, sois pour tes frères lunettes d'émerveillement.

Bonne journée ! Dieu ne pourra pas se cacher si tu le cherches de tout ton cœur.

Ps Suzanne
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Invité

« Jésus quitta la région de Tyr; passant par Sidon, il prit la direction du lac de Galilée et alla en plein territoire de la Décapole. »

Jésus va en plein territoire de la Décapole, nous dit l'Écriture en Marc 7. Si vous vous rappelez, dans un chapitre précédent, en Marc 5, Jésus avait guéri un homme possédé de plusieurs démons. Après sa libération, l'homme alla dans la région de la Décapole, et il annonçait ce que Jésus avait fait pour lui. Cet homme a semé la foi dans les cœurs par son témoignage !

Alors, voici que Jésus arrive dans le territoire de la Décapole, et les gens l'attendent. Jésus fait la guérison d'une petite fille. Pourquoi, dans cette région dite païenne, les gens attendent-ils Jésus ? Parce qu'un homme a précédé Jésus et a semé une graine de foi qui a grandi.

Nous aussi, nous pouvons semer des « graines de foi » par notre gentillesse, par un pardon donné alors que l'autre est dans le tort, par le partage de mon temps et même de mon avoir : être des semeurs de Dieu.

QUE SÈMERAS-TU AUJOURD'HUI ?

IL TE FAUT SEMER, CAR TU PORTES EN TOI SA VIE !

TOUTE SEMENCE REÇUE DE JÉSUS EN TON CŒUR A UN POTENTIEL INSOUPÇONNÉ, CAR ELLE VIENT DE DIEU.

Ps Suzanne
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Invité

Bonne fête, chère Maman Marie, Notre-Dame de Lourdes !

En ce jour, j'aime me rappeler une parole qu'a dite Marie à Bernadette :
« Je ne te promets pas d'être heureuse en ce monde, mais dans l'autre. »
C'est un peu comme si Marie disait :
« Je ne te promets pas une traversée facile, mais tu arriveras à bon port. »

Marie pourrait nous redire la même chose à chacun et chacune de nous. Prenons donc deux minutes pour revenir sur cette parole de sagesse de notre chère Maman du ciel.

Puis, c'est aussi la Journée mondiale des malades. Tous, un jour ou l'autre, nous serons malades, ou nous le sommes déjà. Ça fait partie de notre vie, de manière différente. Et si la maladie n'a pas passé dans notre vie directement, nous connaissons tous des personnes portant cette croix.

Cette croix se veut unie à celle de Jésus, elle se veut salut pour soi et pour les nôtres, et pour une multitude. Ne pensons jamais que la maladie est une malédiction ni une punition de Dieu, mais plutôt un cadeau enveloppé avec un papier moins agréable.

Rappelons-nous aujourd'hui du Sacrement des malades, et essayons de le recevoir. Il est un signe sensible de la présence compatissante de Jésus qui veut nous accompagner... ou nous guérir..., et TOUJOURS nous fortifier pour porter cette croix, ET nous préparer à notre grande rencontre. C'est le sacrement des VIVANTS, et non des morts. Si vous le pouvez, allez voir un prêtre et demandez ce cadeau, ce sacrement de vie, si votre croix physique ou psychologique est trop lourde. Jésus veut encore et toujours être avec vous.

Celui qui souffre peut s'approcher de Jésus au Très Saint Sacrement, et comprendre Jésus dont le côté fut ouvert par le coup de lance !!!

Ps Suzanne
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Invité

En ce beau samedi, Jésus multiplie les pains pour ses 4 000 frères et sœurs.

Mais regardons celui qui possède les pains et les poissons. Il a pu hésiter à les donner en se disant : « À quoi cela peut-il servir ? C'est si peu, je ferais mieux de les garder, mais Jésus les demande... Que faire ? »

Je trouve tellement qu'il nous ressemble, à certains moments de notre vie ! Jésus appelle, Jésus demande, et on dit : « À quoi cela peut-il servir ? » Notre foi ne voit pas tout ce que Jésus peut faire avec le peu que nous lui offrons.

ALORS,

OFFRONS TOUT, TOUT DE SUITE, COMME JÉSUS LE DEMANDE : C'EST LE SECRET DU BONHEUR !

Ps SuZanne
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Invité

Regardant alors ses disciples, Jésus dit :

« Heureux, vous les pauvres : le royaume de Dieu est à vous !

Heureux, vous qui avez faim maintenant : vous serez rassasiés !
Heureux, vous qui pleurez maintenant : vous rirez !
Heureux êtes-vous quand les hommes vous haïssent et vous repoussent,
quand ils insultent et rejettent votre nom comme méprisable, à cause du Fils de l'homme.
Ce jour-là, soyez heureux et sautez de joie, car votre récompense
est grande dans le ciel : c'est ainsi que leurs pères traitaient les prophètes. »

Jésus vient montrer à ses disciples le chemin du bonheur à travers les Béatitudes en Luc.

Je crois qu'il nous faut une BÉATITUDE MAJEURE pour vivre les autres Béatitudes :

L'HUMILITÉ !

ELLE SERA GARDIENNE de la pauvreté, de la douceur, de la pureté, de la miséricorde.

L'HUMILITÉ, CHEMIN SÛR DE BONHEUR.

COMME JÉSUS... COMME LA VIERGE MARIE... COMME TOUS LES SAINTS !

cheers

Ps Suzanne
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Invité

Voici une copie de l'électrocardiogramme de Jésus !

SON CŒUR BAT AU RYTHME DE L'AMOUR !

Comme toujours, Jésus nous invite à le suivre sur le chemin de la sainteté, chemin de l'amour !

Nous allons aimer Jésus comme jamais aujourd'hui.

Nous prendrons nos chants les plus amoureux pour les Lui offrir.

Avec Lui, nous chanterons aussi notre Mère, la Vierge Marie.

Nous nous plairons à aimer avec un sourire tous ceux que nous rencontrerons.

La Saint-Valentin est bien au-delà du chocolat et des roses : elle vient de notre cœur, et cela, « c'est pour tout le monde, par tout le monde ».

J'offrirai aussi ma messe pour vous tous, car vous m'êtes devenus chers.

Ps Suzanne
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Invité

Dans l'Évangile du jour, Jésus pose une question : « Pour vous, qui suis-je ? »

On peut répondre comme Pierre : « Tu es le Christ. » Merveilleuse réponse de l'Esprit Saint.
On pourra aussi, au cours de la journée, offrir à Jésus une réponse toute personnelle avec notre cœur.

Les gens pouvaient penser que Jésus était un prophète extraordinaire, mais il est venu d'abord
comme un Serviteur, et pas n'importe quel serviteur, un serviteur souffrant. Par sa croix,
IL EST DEVENU UNE FONTAINE DE GRÂCES ET DE BÉNÉDICTIONS !

CETTE FONTAINE DU CŒUR OUVERT DE JÉSUS NOUS PARDONNE DE NOS PÉCHÉS,
NOUS LIBÈRE DE NOS ANXIÉTÉS, NOUS REND CAPABLES DE CHARITÉ.

En comprenant cela, je me suis dit : « Si j'embrasse ma croix du quotidien,
si je l'unis à celle de Jésus, alors je serai aussi

UNE FONTAINE DE GRÂCES ET DE BÉNÉDICTIONS pour mes frères ! »

WOW !

Écoute la douce voix de Jésus qui murmure : « Merci, mon ami, de ne pas me rejeter quand
tu vois la croix dans ta vie, mais de t'unir à Moi. Je ferai de toi une fontaine v
ivante d'eau vive pour les tiens. »

WOW !

Ps Suzanne
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Invité

« Qu'est-ce que tu regardes, petite fille ? »
« J'essaie de comprendre ! »

Avez-vous déjà essayé de comprendre des gens qui portent de lourdes croix et qui gardent leur paix et leur confiance ? Connaissez-vous des personnes qui ont peur du carême et des croix que cette période peut apporter ?

Aujourd'hui, Jésus nous invite à prendre notre croix et à marcher à sa suite. Le secret de sagesse en cette Parole : prendre sa croix, celle qui nous est offerte.

Je vous partage un texte de John Donne, qui nous parle de cette Sagesse.

« Puisque je suis contraint de porter ma croix, il faut qu'il y ait une croix qui soit mienne à porter, une croix préparée par Dieu, et posée sur mon chemin, laquelle est les tentations ou les tribulations de ma vocation particulière; et il ne faut pas que je m'écarte de mon chemin pour chercher une croix, car de cette façon elle n'est point mienne, ni posée pour que je la porte. Je ne suis pas contraint à m'affamer par un jeûne immodéré, ni de déchirer ma chair... Je suis contraint à porter ma croix; et, celle-là seule est mienne, que la main de Dieu a posée pour moi, c'est-à-dire sur le chemin de ma vocation. »

Saint François de Salle disait que le Bon Dieu en sa Providence avait pesé et mesuré notre croix afin qu'elle ne soit ni trop lourde, ni trop grosse. Il avait même mesuré notre épaule pour s'assurer qu'elle faisait bien.

Ps Suzanne
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Invité

La Transfiguration est une théophanie, une manifestation trinitaire de pure Miséricorde.
Dieu Trinité veut « rassurer » les apôtres de Jésus avant le moment de la passion :
« Gardez courage, Jésus est Fils de Dieu. »

Combien la Miséricorde colore la vie de manière différente !
Le pape François dit que le pardon n'est pas la miséricorde... la Miséricorde est le mode dans lequel Dieu pardonne. En d'autres mots, Dieu ne dit pas : « Très bien, je te pardonne, mais ne recommence pas, ce n'est guère sympathique ce que tu as fait. » Non, Dieu pardonne avec un débordement d'amour, comme pour l'enfant prodigue; ce débordement s'appelle Miséricorde.

C'est la même chose pour l'entraide familiale : je peux aider quelqu'un en lui montrant qu'il a besoin de moi et qu'il est limité. Je l'aide, mais comme débordement d'amour, ce n'est pas fameux ! Par contre, je peux vivre de l'entraide familiale en mode miséricorde en montrant à l'autre ma joie de l'aider, et en le faisant dans un débordement d'amour.

Si on demandait, aujourd'hui, une TRANSFIGURATION ?

TOUT VIVRE EN MODE DE MISÉRICORDE !

Ps Suzanne
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Invité

Il y a des surprises, parfois, dans le désert, comme dans le cœur de chaque homme.

« Aimez vos ennemis et priez pour ceux qui vous persécutent... », dit Jésus.

Prier pour ses ennemis est une chose, mais les aimer en est une autre. Humainement, naturellement, nous ne pouvons pas aimer nos ennemis. Nous pouvons tout juste éviter de leur faire du tort en retour, et c'est déjà beaucoup.

Mais,

Jésus nous appelle à bien plus : Il nous dit de leur « faire du bien » ! Nos ennemis sont souvent les personnes avec qui nous vivons tous les jours, les gens qui nous sont proches et dont nous disons parfois : « Je n'en peux plus de cette personne ! »

Dieu ne nous condamne pas en notre fragilité, bien au contraire, Il veut nous rendre capables de plus. Il nous sait capables de tout avec son Esprit Saint, et Il veut nous le montrer en nous invitant à la perfection de la charité comme notre Père. Oui, Dieu notre Père est Miséricorde, et il nous invite à être nous aussi miséricordieux avec la grâce de son Esprit Saint, qui veut venir faire des prouesses en nos cœurs !

Demandons à Marie de nous aider. Pensons comment elle a été capable d'accueillir Pierre après le reniement, et tous les autres apôtres qui avaient abandonné Jésus. Prions aussi les uns pour les autres, car nous sommes tous à la fois enfants de Dieu... et pécheurs ! Demandons les uns pour les autres le don de force de l'Esprit Saint qui seul peut nous rendre capables de l'amour de nos ennemis

Ps Suzanne
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Invité

« J'ai demandé à tes disciples d'expulser cet esprit, mais ils n'en ont pas été capables. » (Mc 9, 18)

Jésus est triste quand il entend ces mots. Attristé, surtout, par le manque de foi de ses disciples. Et la foi leur manque parce qu'ils doivent prier davantage : « Cette espèce-là, rien ne peut la faire sortir, sauf la prière. » (Mc 9, 29)

La prière est un dialogue intime avec Dieu. Jean-Paul II a dit que « la prière implique toujours d'aller se cacher avec le Christ en Dieu. Ce n'est qu’en semblable intimité qu'agit le Saint-Esprit ». Dans cette cachette intime, l'on pratique cette amicale fréquentation de Jésus, qui accroît notre confiance en Lui, c'est-à-dire notre foi.

Mais cette foi, qui remue les montagnes et expulse les esprits mauvais (« Tout est possible pour celui qui croit » Mc 9, 23), est surtout un don de Dieu. Notre oraison, en tout cas, nous met en disposition de recevoir ce don. Mais nous devons l'implorer : « Je crois ! Viens au secours de mon manque de foi ! » (Mc 9, 24) Le Christ, Lui, ne se fera pas prier !

La foi n'est pas d'abord une connaissance bien emmagasinée dans notre esprit, mais une relation, une expérience de notre cœur qui nous fait aller de l'avant ! Je sais d'expérience, non pour avoir vu, mais pour avoir vécu !

Ps Suzanne
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Invité

C'est la fête de la Chaire de saint Pierre.

Quand Jésus posa la question aux apôtres « Pour vous, qui suis-je ? », Pierre répondit sous le Souffle de l’Esprit Saint : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. » C’était la bonne réponse, et même si elle venait de l’Esprit Saint, Dieu montrait ainsi celui qu'Il avait choisi pour devenir chef de son Église : l’Esprit était sur Pierre.

Il venait de franchir une première étape de cheminement, mais il ne réussit pas les autres étapes toujours ainsi. Qu'on se souvienne quand Pierre dit à Jésus qu’Il n’irait pas à la croix. Puis, il y eut le reniement de Pierre. Tout cela faisait partie de son cheminement.

Personne ne chemine en ligne droite parfaite, nous avons tous nos limites de pauvres pécheurs et nos combats.

Pas facile de répondre qui est Jésus pour nous quand nous avons ces combats devant la maladie, la perte d’un emploi, ou la perte d’un être cher. Mais souvent, à ces heures, on peut découvrir le Jésus tout proche, celui qui compatit et qui a souci de nous, même si tout semble être le contraire.

Personnellement, j’aime lui répéter la Parole de Sr Faustine : « Jésus, j’ai confiance en toi. » Ma confiance va en grandissant à chaque pas que je franchis. Jésus n’aura jamais peur de nos révoltes, Il sait de quoi nous sommes pétris, et Il nous aide souvent sans que nous le sachions.

Répondons avec notre cœur : « Jésus, pour moi, Tu es ... »

Ps Suzanne
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Invité

« Celui qui n'est pas contre nous est pour nous », dit Jésus.

Combien j'aime la grandeur de Cœur de Jésus ! Les apôtres critiquent une personne qui a fait une bonne action, sans Le suivre directement. Mais Jésus a une vision et un cœur plus larges. Jésus sait reconnaître tout ce qu'il y a de bon et de beau dans le cœur de l'homme.

Sa première question n'est pas : « Viens-tu à la messe tous les dimanches ? » Jésus regarde le cœur qui sait aimer. Rappelons-nous la question finale, celle de la fin de notre vie : « As-tu aimé ? »

Parfois, je dis : « Je n'ai rien fait de ce que je voulais faire, aujourd'hui. » Toujours, quelqu'un me demande : « As-tu aimé ? Si oui, ta journée n'est pas perdue, bien au contraire. Que te servirait de faire tout ce que tu veux et de n'avoir pas le temps d'aimer ? »
« As-tu aimé ? »

Voilà la question de la fin de la vie et de la fin de chaque journée... à la lumière de l'Amour de Jésus.

Ps Suzanne
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Invité

L'Évangile est toujours une Bonne Nouvelle.

Quand on lit le passage de ce jour, on peut trouver Jésus assez dur, et en réalité, dans cette péricope, Il l'est !

Pourquoi ?

Parce que Jésus veut que nous prenions nos responsabilités les uns envers les autres.

Nous sommes créés dans l'Amour pour aimer, ce qui veut dire :

SOYONS ATTENTIFS LES UNS AUX AUTRES,

OU

SOYONS BONS LES UNS POUR LES AUTRES.

Et la bonne nouvelle, c'est que Jésus nous donne ce jour pour réaliser cette Parole pour nos proches, ceux qui sont autour de nous !

« Marie, pourrais-tu nous aider à avoir cette délicatesse que tu avais ? Et empêche-nous de scandaliser qui que ce soit. Amen. »

CE SERA VOTRE PLUS BELLE JOURNÉE PARCE QUE VOUS AUREZ AIMÉ À LA MANIÈRE DE MARIE, COMME JÉSUS L'A DEMANDÉ, ET SANS DOUTE QUE VOUS AUREZ FAIT QUELQUES EFFORTS POUR SUIVRE LE CHRIST.

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